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non
J'avais commencé à écrire une critique que je voulais structurée, claire et cinglante. Un truc sur la frustration qui m'a habité pendant tout le film et ma déception quant à sa fin. Quelque chose qui...
Par
le 7 juil. 2023
26 j'aime
2
There's NO something WITHOUT Nothing
92 minutes qui passeraient aisément pour une paraphrase de "Tout sauf un homme" de Asimov ou de "A.I." de Spielberg. Une réflexion sur l'existence, avec pour toile de fond l'éducation d'une petite fille adoptée dans un futur plus ou moins proche.
Ce décor est peint par petite touches de ci de là, d'ailleurs peu de place, voire pas du tout pour des plans d'ensembles. Jeux de reflets, visions déformées par un miroir, un pare-brise, un aquarium. Pour donner corps à ce contenant, quelques éclaboussures de nuancier, une vieille plaque du drapeau américain avec inscrit au feutre "pas de jaune sur ce drapeau", une réflexion "raciste ?" sur les clones, ou un concours de danse en famille (bonne entrée en matière).
Un film qui prend son temps (trop diront certains ?) qui charrie son lot de questionnements sur la mémoire, l'humanité, les limites floues entre l'être vivant et la machine, l'éducation, l'amour, la fin, l'après sans forcément apporter de réponse toute faite.
Rien de plus que cette ritournelle "I wanna be..., I wanna be..."
Je veux être... Je veux être.
8
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Créée
le 8 juil. 2023
Critique lue 6 fois
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