Elle s'appelle Alba. Comme l'aube de l'adolescence et d'une vie qui va basculer alors que sa mère se meurt et que son père est un parfait étranger vieilli avant l'heure. Mutique, taciturne, quasi autiste, Alba est à l'écart du monde. Le film l'est aussi, délicat certes, mais lourd de silences qui n'en finissent pas au fil d'une histoire qui ne fait aucune concession à une quelconque dramaturgie. C'est sûr, les clichés du récit initiatique sont évités mais au prix d'une langueur excessive.

Cinephile-doux
5
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Au fil(m) de 2017 ...

Créée

le 22 oct. 2017

Critique lue 485 fois

1 j'aime

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 485 fois

1

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

75 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

73 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13