Critique N°306 : ... Qui est-ce qu'on appelle ?

  • Mike Lowrey et Marcus Burnett sont de retour et vont cette fois se trouver un adversaire à leur mesure : Tapia, un ambitieux baron de la drogue, est décidé à tout pour inonder Miami d'un nouveau poison. Cependant, Syd la sœur de Marcus, qui est aussi agent au service des stups, a infiltré le cartel et risque d'être découverte. Pour Marcus comme pour Mike l'affaire devient personnelle. Les deux hommes vont devoir utiliser des méthodes peu réglementaires pour tenter de déjouer l'infernale machination de Tapia et sortir Syd de là.

Elle est loin l'époque où un film n'avait pas de titre à rallonge. Vous vous en souvenez ?
Maintenant c'est "film machin 4 : le retour du criminel qui tape fort".
Non, nous à l'époque on avait *Bad Boys II !!

On retrouve nos deux bourrins de service sur le terrain prêt à en découdre !
Et étonnamment, Michael Bay arrive à bien rempiler, voir même mieux.
Mais si l'esprit Buddy Movie est toujours présent, les blagues lourdes et dégueulasse sont présente à foison, et v’la que des rats qui baisent et v’la des mains plongées dans le corps d’un macabé.
Alors on oublie pas les classiques, guns fight, explosions course poursuite et complicité entre nos deux compères. Smith est toujours aussi bon et devient bien plus badass que dans le premier opus (sa carrière a explosé juste avant), Lawrence lui sera le comique durant tout le film.
Coucou à Joe Pantaliano qui a l'air surexcité dans ce film !

Le film est bien plus maîtrisé que l’opus d’avant et Bad Boys II convainc plus que le premier.
L'histoire de Marcus qui fait une crise de la quarantaine est drôle au début mais on s'en tape un peu, et on est sur un presque décalque du premier.

Alors que le premier film avait un budget de 19 Millions de dollars, *Bad Boys II** va avoir 175 Millions de dollars !!
Outre les salaires de Lawrence et Smith, ce qui vaut ce bifton c’est le feu d’artifice continuel dans ce film. Non stop, Bay s’est amusé et à fait peter le plus de truc possible.

Le duo fonctionne toujours autant et Micheal Bay signe une très bonne suite et un très bon défouloir surexcité.

LaMoustache
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le 4 nov. 2020

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