My childhood.
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Ici, Saul Bass, face caméra raconte la genèse de ses créations de génériques, de L’homme au bras d’or (Preminger, 1955) à Grand prix ou Seconds (Frankenheimer, 1966 & 1967) en passant par celui de West Side story. De l’animation simple, des graffitis sur des murs, la déformation d’un œil, les préparatifs d’une course. On entendra finalement peu Bass dedans, puisque le film se contente d’aligner ces génériques dans leur intégralité. Autant de « titles sequences » qui à la fois épousent le film en devenir ou lui offre un prologue, autant qu’ils font office de beaux courts-métrages indépendants. Bass on titles nous apprend peu, mais il offre une belle compilation des géniales créations de Saul Bass, sans pour autant citer son travail sur les films d’Hitchcock.
Créée
le 16 nov. 2022
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