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Même si ce n'est pas Jacques Tourneur derrière la caméra, on ressent rapidement la griffe du producteur Val Lewton sur cette œuvre, d'autant que Mark Robson aura rarement été aussi inspiré qu'ici...
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le 18 janv. 2018
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Plein de bonnes choses, ne serait-ce que l'ambiance très influencé par l’expressionnisme allemand, le sujet puisqu'il s'agit de la dénonciation des conditions de l'internement psychiatrique au XVIIème siècle en Angleterre, la qualité de l'interprétation : Karlov incarne magistralement un personnage infect, et la surprenante et très jolie Anna Lee . Côté négatif, tout cela fait un peu conte de fée et puis surtout le blabla du quaker de service est assez peu supportable. Au final un film intéressant mais sans doute surestimé.
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Créée
le 9 déc. 2018
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