Le mystère Achab
« La capitaine Achab », par son approche résolument littéraire et picturale, assène avec ingéniosité et force un grand coup dans le conformisme ambiant qui règne en maître sur la production...
le 16 sept. 2014
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Bonjour.
Autour d'acteurs de talent, une lumière miélée pour les intérieurs ; roches, troncs et forêts en tableaux nature ; pour des images et plans se succédant en séquences restées glaciales jusque sur le sein des dames, d'ailleurs très beau.
De derrière une caméra qui ne se fait jamais oublier, on voit grandir Achab depuis son enfance à la Oliver Twist, jusqu'à son dernier voyage, dans une histoire comme sortie d'un rapport de police. Tout y est lisse, factuel, et se succède en suivant le calendrier d'une vie connue d'avance, dans une ambiance de studio qui fige tout. Théâtralement ennuyeux.
Même Dominique Blanc et Denis Lavant ont l'air de suivre, pas trop sûrs d'eux, des directives étroites où ils peinent à s'enfermer. Et ça, c'est du gâchis.
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il y a 3 jours
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« La capitaine Achab », par son approche résolument littéraire et picturale, assène avec ingéniosité et force un grand coup dans le conformisme ambiant qui règne en maître sur la production...
le 16 sept. 2014
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Malgré quelques belles images, l'ennui pointe assez vite le bout de son nez. On s'éternise sur l'enfance d'Achab, alors qu'elle n'est pas si intéressante. Les acteurs ont ce jeu compassé qui endort,...
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le 22 oct. 2016
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Bonjour. Autour d'acteurs de talent, une lumière miélée pour les intérieurs ; roches, troncs et forêts en tableaux nature ; pour des images et plans se succédant en séquences restées glaciales...
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il y a 3 jours
Bonjour. 1958, Grégory Peck droit dans ses étriers en justicier Cinémascope dans les terres arides et la nuit américaine, à la poursuite d'une justice vengeresse. Que l'épilogue traduira en morale...
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le 21 juil. 2025
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le 8 juil. 2025
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