Atom Egoyan détourne les codes du thriller pour plonger dans les tréfonds de l’âme de personnages « captifs » de leurs névroses. Sous la forme d’un récit alternant présent et passé, il ausculte la désagrégation d’un couple confronté à l’innommable. Dommage que ce "Captives", parfois confus dans sa construction, soit sorti après le glaçant "Prisoners" avec lequel on ne manquera pas de le comparer défavorablement.

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le 2 mars 2017

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Blockhead

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