La vérité vraie
Le début annonce directement la couleur, la cinéaste fait une comparaison antisémite, se servant de la shoah pour parler des "idéologies mortifères" : les sectes, Hitler, et en sous-texte...
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le 22 mai 2024
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Assez chaotique, les gens qui ont travaillés se sont dit tiens, on va juste zoomer sur le café et mettre le son à fond avec un son distordu puis tout flouter et c'est bon ça représente bien les surcharges sensorielles.
Je veux bien que ce soit compliqué à montrer visuellement, mais il y a des oeuvres qui représente assez bien, comme cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=8ZZ5FSfFVog dans cette vidéo il n'est pas question d'une surcharge en soit, mais des hypersensibilités, le fait de se centrer sur les détails (car lorsqu'on est autiste, on voient en détail plutôt qu'en global) le court de Carly's café essai de montrer ça aussi, que ce soit avec les gens qui parlent autour, l'ouverture de la porte du café, disons que si je devais expliquer, c'est simplement vouloir traiter chaque information autour de nous, et quand il y a trop d'informations autour de nous, ça devient compliquer à gérer, il y aurait mieux fallut superposer plusieurs voix et bruit en même temps et faire des focus sur chaque source du bruit sans changer de plan toutes les secondes.
Aussi ça traîte uniquement des hypersensibilité et surcharge auditive / visuelle ici, il y en a pleins d'autres, mais ce n'est pas un défaut, le court est adapté de la parole d'une personne concernée, il faut prendre en compte aussi que certaines personnes autistes n'ont pas d'hypersensibilité auditive/visuelle, parfois même hypo, donc une attirance pour tout ce qui est lumineux, parfois même un mixte des deux.
Je ne trouve pas vraiment d'intérêt à ce court-métrage, mais je ne vais pas être trop sévère avec ma note.
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Créée
le 23 mars 2024
Critique lue 18 fois
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