Critique de Cauchemar Blanc par cathVK44
La nuit sous les fenêtres muettes et aveugles sera son cauchemar. Humour noir et larmes de colère pour un crime du racisme dit ordinaire.
Par
le 13 sept. 2024
Le film (en noir & blanc) est adapté de la bande dessinée (12 planches dessinée à l’encre) éponyme (1974) de Jean Giraud (1938-2012) et parue, dans « L’écho des savanes » (n°8). C’est l’histoire de 4 abrutis, maladroits, armés d’une batte de base-ball, d’un nunchaku et d’un révolver, qui décident de battre un travailleur arabe qui rentre du travail, de nuit, en solex. La première partie (onirique) est drôle alors que la seconde l’est moins car plus réaliste. A voir comme un témoignage du racisme dans les années 1970’ [déjà illustré brillamment par « Dupond Lajoie » (1975) d’Yves Boisset] et comme un « échauffement » pour Mathieu Kassovitz avant de réaliser des longs métrages. On a le plaisir de voir, à leurs débuts, Yvon Attal (26 ans) et Jean-Pierre Darroussin (38 ans).
Créée
le 26 juil. 2025
Critique lue 6 fois
La nuit sous les fenêtres muettes et aveugles sera son cauchemar. Humour noir et larmes de colère pour un crime du racisme dit ordinaire.
Par
le 13 sept. 2024
Et après la haine sera filmé, vraiment un Gars talentueux ce Mathieu Kassovitz !
le 10 juil. 2023
Il est étonnant que le film ait obtenu le prix du meilleur scénario à la 81e Mostra de Venise (présidée par Isabelle Huppert) car c’est seulement l’adaptation, chronologique et linéaire, du livre...
Par
le 28 oct. 2024
15 j'aime
2
Dès les premières images, j’ai senti que le film ne me plairait pas : en hiver, longs plans fixes sur la cime des arbres, sur un bucheron tronçonnant des arbres, fendant les buches à la hache, les...
Par
le 7 déc. 2023
10 j'aime
9
Voici un film typique de festival où les spectateurs et critiques bienveillants verront un film humaniste, original, inclusif, surréaliste, sur Bailey, métisse androgyne, 12 ans, passant de l’enfance...
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le 28 oct. 2024
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