Une aventure de plus pour Charlie Chan et ce n'est pas la plus barbante, c'est déjà ça ! Un tueur s'évade juste après sa condamnation à mort et se cache dans un musée de mannequin de cire représentant de célèbres criminels. Pour une fois, l'identité du meurtrier n'est pas aussi évidente qu'à l'accoutumée, du coup, il y a un petit attrait de ce côté-là. Mais bon la formule est sensiblement pareille que dans les volets précédents, donc pas vraiment de surprise., on a aussi une petite esthétique expressionniste dans les images mais la réalisation est très platonique, cela reste de la série B sans ambition visuelle.