Elles sont où les 50 nuances ?

On dit toujours qu’il ne faut pas dire ‘je n’aime pas’ sans avoir goûté. C’est pour ça que j’ai décidé d’avoir une nouvelle éthique et de regarder certains films que j’aurai bien critiqué lamentablement sans avoir rien vu du tout.
C’est aussi pour ça que je me suis tapé tous les Twilights, les Resident Evil et autres Dragonball Evolution.

Après le tapage médiatique du bouquin (je n’irais pas jusqu’à perdre mon temps à les lire, faut pas déconner, deux heures de films c’est déjà bien assez) que je sentais déjà comme un bon torchon pour jeune prude en manque de fantasme, vient alors l’adaptation au cinéma. Et voilà que pendant des jours et des jours tout le monde ne parle que de ça, sur le net, à la TV…

Etant très peu fan des films romantiques, forcément ça commençait mal pour que j’apprécie le film. Mais voilà mon résumé ultra rapide pour ce soit disant film sur l’amour, le masochisme et tout le tralala.

- Film lent, convenu, vu, revu et re-revu.
- Du ‘je t’aime mais je ne peux pas moi non plus etc.’ à toutes les sauces.
- Il faut attendre 1H27 pour voir un soupçon de perversité : une fessé aussi violente et méchante qu’on peut en recevoir en maternelle.
- 10 min avant la fin, on a l’apothéose : les coups de ceintures. Dis dont mais c’est vraiment fou comme film !
- Une fin plate.


J’ai eu l’impression de voir une série rose à la RTL9, en plus épurée, et aussi mal joué…