le 10 sept. 2014
Blanc en neige
Quel est le point commun entre Michel Blanc et Sylvester Stallone ? A priori aucun. Pourtant ils sont intimement liés par ''Cliffhanger''. Je vais vous révéler l'un des secrets les mieux gardés de...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Dans la quête perpétuelle de faire découvrir un certain pan du cinéma d'une époque révolue, Cliffhanger faut notre nouvelle victime.
Pour l'historique, c'est le film qui ramène Stallone dans le le cinéma d'action qu'il avait délaissé pour s'essayer à d'autres genres dont la comédie avec un succès mitigé.
Ici, les clichés pleuvent et l'on retrouve ce cinéma no brain qui a bercé les années 80. Des alpinistes chevronnés qui démontent des méchants très méchants qui ne savent pas tirer dixit mon partenaire de visionnage (Il a déjà compris la première grosse ficelle du genre : les méchants ne savent pas tirer). La scène d'introduction est réussie et le film se déroule à son rythme avec son lot de scènes spectaculaires, de paysages grandioses, de décors studios pas du tout visibles (à l'époque).
Stallone est relativement transparent malgré son statut de héros. Et pourquoi, me direz vous ? Simplement parce que John Lithgow lui vole la vedette dès qu'il apparait dans le champ de la caméra. Les répliques, l'attitude et les actions de ce méchant très méchant le rend immédiatement charismatique et il donne une autre dimension au film. L'assertion selon laquelle il faut un bon méchant pour faire un bon film est parfaitement respecté dans le cas de Cliffhanger.
Objectivement, le film est loin des canons du genre. Subjectivement, c'est un vrai plaisir coupable que j'ai apprécié de revoir et de faire découvrir. Et lui aussi, il a préféré le méchant.
Créée
le 3 juin 2017
Critique lue 187 fois
le 10 sept. 2014
Quel est le point commun entre Michel Blanc et Sylvester Stallone ? A priori aucun. Pourtant ils sont intimement liés par ''Cliffhanger''. Je vais vous révéler l'un des secrets les mieux gardés de...
le 4 sept. 2019
Ayant bien repris l’esprit combatif du héros fictif John McClane avec son mouvementé et débridé film 58 minutes pour vivre, le réalisateur Renny Harlin réalise le même genre de...
9
le 13 sept. 2016
Ce thriller vertigineux au rythme échevelé, marquait le grand retour de Stallone en 1993 vers l'action, après s'être essayé sans trop de succès à la comédie ; alors qu'il était boudé par ses fans,...
le 2 juin 2017
Critique basée sur la saison 1 et à moins que les échos sur la 2 soient exceptionnels, elle sera sans moi. L'idée de départ est excellente : Toutes les personnes détenant le pouvoir législatif et...
le 8 avr. 2017
Tout d'abord, je n'ai pas lu le livre. Je ne compte pas le faire donc pas de comparaison. Enfin, une série pour ados qui parlent de problèmes d'ados sans l'enrober de tout le monde couche avec tout...
le 4 juin 2017
Le suivant de la liste de films d'une époque révolue. Il n'y a aucune logique dans le visionnage, juste la mémoire de l'ancien que je suis. J'avais bien aimé à l'époque alors on regarde. Mort subite,...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique