Très bonne réalisation et un énorme mérite: malgré des ficelles attendues et un scénario calqué sur les premiers Rocky ( mais après tout on est là pour çà, non?) on se prend vite au jeu; les frissons ne tardent pas à venir dès les première notes de trompette ( de Bill Conti); Stallone y livre son Gran Torino à lui, sans en faire des tonnes et nous arrache des larmes.
On pardonnera les quelques scènes faciles et trop classiques ou prévisibles pour retenir un revival qui réussit plusieurs fois à atteindre des sommets d'émotion ( la longue course dans les rues de Philadelphie, le combat final...)
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2016
Créée
le 16 févr. 2017
Critique lue 168 fois
D'autres avis sur Creed - L'Héritage de Rocky Balboa
10 ans après Rocky Balboa (2006) de Sylvester Stallone, on espérait plus grand-chose de la saga « Rocky », c’était sans compter sur la venue du fils d’un célèbre boxeur, Apollo Creed. Adonis Creed...
le 13 janv. 2016
70 j'aime
Franchement je n’attendais absolument rien de ce spin-off, je trouvais le projet assez casse-gueule de vouloir encore une fois moderniser le mythe, enfin de lui apporter un héritage, une pseudo...
le 30 déc. 2015
62 j'aime
3
Creed : l'Héritage de Rocky Balboa était un projet sacrément casse-gueule. Comme l'était Rocky Balboa il y a quelques années. Mais Stallone règne tel un empereur sur une franchise décidément...
Par
le 30 déc. 2015
58 j'aime
2
Du même critique
Denis Villeneuve succède à Ridley Scott 35 ans plus tard pour la suite de ce « Blade Runner » devenu entre-temps culte pour beaucoup . Le pari était osé mais le résultat est un petit prodige de...
Par
le 31 oct. 2022
7 j'aime
3
Malgré un rythme inégal et quelques inévitables effets désuets teintés seventies ( la musique, la pornographie underground), « Get Carter » constitue un sommet du film noir anglais avec un Michael...
Par
le 2 mars 2019
6 j'aime
Je ne regarde jamais un film interprété par Belmondo en toute objectivité car il a bercé ma jeunesse et a contribué en grande partie à mon amour du cinéma. On retrouve sa gouaille et son animalité...
Par
le 12 janv. 2019
5 j'aime
1
