A travers Ji-gu, Kang Yi-kwan brosse le portrait d’une jeunesse coréenne où la courbe d’évolution des interrogations est inversement proportionnelle à celle des repères. Le cinéaste double ce portrait de celui des familles mono-parentales. L’analyse est subtile et garde sens hors Corée du sud.

In_Cine_Veritas
6
Écrit par

Créée

le 21 avr. 2018

Critique lue 149 fois

In_Cine_Veritas

Écrit par

Critique lue 149 fois

D'autres avis sur Délinquant Juvénile

Délinquant Juvénile
Motema95
7

Les blessures de l'enfance n'en finissent pas de faire souffrir

Très joli film coréen qui traite des histoires familiales en chaînes ,comme si l'histoire des. parents s'inscrivait dans les gènes des enfants et prédestinait à la répétition, la réplique de cette...

le 1 nov. 2015

Du même critique

Le Bleu du caftan
In_Cine_Veritas
4

Sous toutes les coutures

Le bleu du caftan relève d’un cinéma combinant à la fois poses et pauses. Reconnaissons à Maryam Touzani la qualité de sa composition cinématographique. Les cadres et la photographie du film sont de...

le 20 mars 2023

7 j'aime

1

Le Tourbillon de la vie
In_Cine_Veritas
8

Carré de destins

Après la réalisation de plusieurs courts-métrages dont L’accordeur en 2010, Olivier Treiner livre son premier long-métrage titré Le tourbillon de la vie. Il peut être dessiné un lien entre...

le 23 déc. 2022

7 j'aime

Piège pour Cendrillon
In_Cine_Veritas
7

Triple rôle pour Dany Carrel

Piège pour Cendrillon fait partie des films les plus rares parmi ceux réalisés par André Cayatte. Avec l’aide de Jean Anouilh, le cinéaste adapte sur grand écran le roman éponyme de Sébastien...

le 4 janv. 2020

5 j'aime