Litanie pour un train fantôme(la paix ne se déclare pas)

par Cindy Rabouan © ACOR


Demons in Paradise est le premier film de Jude Ratnam. Par ce documentaire qui n'exclut pas la mise en scène, il nous invite à le suivre dans un voyage en clair-obscur gravitant entre la mélopée, le récit à portée cathartique et le geste de conjuration. Un voyage dans la mémoire individuelle du cinéaste et celle, collective, de la communauté tamoule sur l'île de Sri Lanka. Un voyage dans les limbes qui tisse un lien fragile mais nécessaire entre un passé qui ne passe pas, celui de la guerre civile et fratricide, et un présent de paix instituée sans considération pour les crimes et les injustices non réparés. Le geste du cinéaste est celui d'une main tendue entre les vivants et les morts à travers un film qui s'adresse à ceux qui restent pour qu'ils n'oublient pas qui ils sont.


Le film s'ouvre sur des images animées issues principalement de fonds d'archives britanniques, remontées, et accompagnées d'un mixage de bruits de vents, de feu de bois, de clochettes et de sons stridents presque étouffés. Un groupe d'enfants nus d'une peuplade telle que l'on imagine être celle des îles des antipodes court vers la caméra, représentation exotique d'une tribu accueillante. Surgissent en un cut dans la séquence suivante deux hommes que nous devinons sans mal être des colons occidentaux (ingénieurs, représentants de firmes ou aventuriers) qui dynamitent une colline. De nouveaux visages apparaissent en gros plan dont celui d'une fillette au regard aussi candide que la mort elle-même. D'emblée, la puissance des images et du son nous convoquent ; chaque visage nous assigne. Déjà, nous sommes embarqués à bord d'un film qui s'écoute autant qu'il donne à voir. Ces images d'archives de rails et de locomotives laissent place en un fondu aux plans contemporains d'un train pris au piège d'un arbre-tentaculaire réalisés par Jude Ratnam : une séquence vertigineuse où se croisent simultanément horizontalité et verticalité, immanence et transcendance, permanence et impermanence, dans un combat irrésolu quasi mythologique...


Dès les cinq premières minutes du film, le récit est d'emblée constellé de signes manifestes : le train, l'arbre, l'enfant (le fils du cinéaste et narrateur) et le petit train d'un manège de fête foraine. Avec la précaution, la gravité d'un conteur qui prend le temps d'installer l'atmosphère propre à favoriser l'écoute, le narrateur se fait guide et nous invite à le suivre dans un voyage en clair-obscur qui gravitera tout au long du film entre la mélopée, le récit à portée cathartique et le geste de conjuration. Un voyage dans la mémoire individuelle du cinéaste et celle, collective, de son peuple et de son île. Un voyage dans les limbes pour (re)tisser le lien ténu entre passé et présent, pour collecter, comprendre sa propre histoire et la transmettre aux générations futures, en l’occurrence son fils.


Le périple commence à Colombo, la capitale de l'île de Sri Lanka. Sur des images contemporaines de la ville avec pour toile de fond l'Océan Indien reflétant le ciel, la voix du narrateur nous transporte trente ans auparavant, une nuit terrible de juillet 1983 où la ville s'est embrasée de toutes parts. Du conflit larvé entre Cinghalais et Tamouls surgit une guerre civile. Jude Ratnam évoque le nœud originel du conflit : « tel un démon, l'héritage colonial hantait le pays. » Les britanniques, en bons conquérants, optant pour la funeste maxime « diviser pour mieux régner », favorisèrent la langue indo-européenne des Cinghalais au détriment de la minorité tamoule sur l'île autrefois appelée Ceylan.


C'est dans ce déséquilibre que l'indépendance du Sri Lanka s'effectua (comme dans bien d'autres anciennes colonies qui s'enflammèrent) ; une autre maxime pourrait d'ailleurs s'appliquer à toutes les contrées délaissées par les empires occidentaux, « Après nous, le déluge. » Ainsi, dès les années cinquante puis a fortiori en 1972 lors de la proclamation de la République démocratique socialiste du Sri Lanka, la langue tamoule, de nature dravidienne, fut reléguée dans les marges de l'histoire et tous signes extérieurs d'appartenance à cette communauté devinrent dangereux pour qui les revêtait. Face à cette mise au ban, le peuple tamoul tenta de se faire entendre par tous les moyens. Élan vital légitime a priori mais qui aboutit à à un long cycle de terreur. Guerre injuste comme toutes guerres ; guerre barbare où, dans un premier temps, l’État détient le monopole légitime de la violence selon l'hypothèse hobbesienne du sociologue allemand Max Weber dans Le savant et le politique. Avant de laisser les intéressés s’entre-tuer d'eux-mêmes.
Il n'est pas anodin dans la stratégie de pouvoir mise en place par les britanniques alors qu'ils quittent le navire que ce soit la langue tamoule qui ait été reléguée. Il s'agit d'une des plus anciennes langues au monde, la deuxième langue classique de l'Inde et elle a véhiculé mythes, légendes, pensée, système, grammaire, poésie, culture. Pendant des siècles, cette culture s'est quelque peu étouffée, au fil des conquêtes. Or, aux XVIIe et XIXe siècles, en plein revival des civilisations anciennes, tandis qu'en Europe le présent ennuie et que la mode passe de l’Égyptologie au préraphaélisme, sur l'île de Ceylan, on se passionne de nouveau pour la culture tamoule. Cette réminiscence identitaire est encore bien active lorsque l'Empire britannique plante son drapeau mais cela ne semble guère intéresser sa Majesté. De là à penser que les occidentaux savent compter mais non pas écouter, il n'y a qu'un pas, assez simple à franchir, en matière d'analyse géopolitique. Par la suite, et comme pour chaque processus de décolonisation, de même que plus récemment pour chaque guerre déclenchée au nom de la démocratie, l’œil était dans la tombe et regardait Caïn...


« Les livres ont été brûlés... ils ne servaient à rien... ça ne les intéressait pas. »


Deux ans avant les violences du juillet noir de 1983 relatés par les témoins du film, et quelques années après l'assassinat du maire de Jaffna par les tigres tamouls, les Cinghalais ont brûlé entièrement la bibliothèque de Jaffna, une des plus grandes et anciennes de l'Asie et de l'Inde.
Œil pour œil, selon la loi tranchante du talion : logique, pourtant aveugle, de la violence.


« Tais-toi. Ne parle pas en Tamoul. Sinon, ils vont nous tuer. »


Ces paroles reviennent à la mémoire du narrateur alors que son fils crie à la fête foraine. Ce sont les paroles proférées par sa mère lorsqu’ils fuyèrent la ville de Colombo par le train en cette année tragique de 1983. Il avait cinq ans. Ce train qu'ils surnommaient le « démon rouge » car il représentait le pouvoir, la conquête de leur territoire au nord de l'île, les a sauvés. Le manichéisme primaire n'a pas sa place dans les propos de Jude Ratnam. Rien ne peut se comprendre à partir d'une grille de lecture à simple ou même à double entrée. L'échiquier ira en se complexifiant jusqu'à la lutte de soi à soi dans les deux dernières parties du film. Car un train peut en cacher un autre semble-t-il. Or, le conflit soulevé par les Tamouls afin que soient reconnues leur identité et leur place dans la géographie, dans l'histoire, dans l'économie et l'administration de l'île va se transformer au fil du temps en une tragique et cruelle lutte à mort au sein de la communauté tamoule elle-même.


« Là, on rejoue juste la scène. »


Quelle vie est possible lorsque la seule présence manifeste se révèle impossible ? Jude Ratnam nous donne à voir un étrange rituel d'auto-effacement ou plutôt sa répétition des décennies plus tard. Après avoir filmé son fils dans le train-manège, ce sont ses propres parents qui s'adonnent à la répétition de gestes qui leur ont sans doute auparavant sauvés la vie, et la sienne. Des vêtements de l'homme au pottu, le troisième œil que les femmes s'apposent au bas du front, toutes particularités liées à leur identité tamoule sont gommées, effacées pour passer inaperçues. Du camouflage à l'invisibilité à la disparition, le glissement sémantique opère ipso facto d'où le vertige des protagonistes quant à leur sort. Que devient un être humain quand, acculé à la peur quotidienne, il erre parmi les éclats épars d'une vie rendue impossible ? Ce rituel est-il celui d'une autre lutte souterraine ou d'une abdication ? Il révèle et met au jour une souffrance qui ne passe pas, dans un film qui, loin d'être un documentaire conceptuel, témoigne de la difficulté à « revivre » le passé, à témoigner pour un temps, a fortiori violent, d'épisodes de guerres, de peur, de fuite auxquels succèdent le choc amnésique empêchant toute résilience. C'est la force de cette séquence qui renverra à d'autres, plus loin dans le récit, lorsque l'oncle, le « héros » de la famille reviendra, trente-cinq ans après les faits, sur les lieux et accomplira les mêmes gestes de camouflage. Répéter, reproduire, revivre sont les étapes fondamentales d'une voie de résilience, d'un rituel de magie blanche proche du désenvoûtement.


« Nous faisons de nos larmes un océan.
Nous faisons de nos cœurs un bateau.
Notre amour sera ta rame, va de l'avant ! »

Lettre du père de Jude Ratnam à l'oncle Yoga dit « Petit frère »


Aux échanges avec sa famille proche, ses parents, ses frères succède un appel à l'oncle de Toronto. A l'écran de l'ordinateur, en arrière-plan de l'application d'appel gratuit, une affiche de film dont on aperçoit seulement le titre, Apocalypse Now. Pas de hasard... Il s'agit autant d'un voyage sans retour, celui qu'ils ont accompli il y a des décennies, quittant Colombo « comme des réfugiés », que celui à bord du Styx qu'est le film, voyage dantesque dans les murmures des trépassés et des vivants réunis dans la douleur. L'échange avec l'oncle dit « Petit frère » (surnom rappelant étrangement d'autres indiens, amérindiens cette fois, d'une autre contrée, d'une autre histoire tout aussi cruelle) est émouvant. Là aussi, Jude Ratnam propose à ses proches de se remémorer le passé, de s'en libérer peut-être enfin, exercice douloureux qui n'empêche pas le rire (politesse du désespoir). La croyance du cinéaste est qu'il y a plus de perspectives d'avenir dans l'échange que dans cet oubli acté comme un diktat par les instances gouvernementales ayant prononcé la paix comme on déclare la guerre.


Des grenades et des roses effrontées


La figure de l'oncle tient une place importante dans la famille Ratnam et dans l'économie du film. Après les émeutes de 1983, il est devenu combattant au sein d'un groupe NLFT (National Liberation Front of Tamileelam) militant pour l'autodétermination d'un état tamoul dans le nord-est de l'île, le Tamil Eelam. Il est parti s'entraîner en Inde après la fuite de Colombo. Il a perdu des amis, des camarades de luttes, sa mère a perdu la raison et finalement son père est mort après les luttes intestines et la défaite finale des différents groupes indépendantistes tamouls. Exilé au Canada, il revient trente-cinq ans après sur les lieux des combats. Par son récit, par la répétition des mêmes gestes de camouflage identitaire, par la visite à une vieille femme qui l'avait caché une nuit, par tous les chemins empruntés de nouveau, le drame passé s'exprime dans son insoluble complexité. Accusés de traîtrise par les Tigres Tamouls, ils sont peu, parmi les autres factions, à avoir survécu aux règlements de compte sanglants qui se déroulèrent dans leurs propres territoires.


- Une couronne de fleurs pour les traîtres
- Pourquoi notre lutte a-t-elle échoué ?
- A cause des traîtres. Ceux qui ont trahi la cause.
- Mais les traîtres ont été punis par les Tigres tamouls, n'est-ce pas ?
- Oui, ils ont été punis par les militants […] les Tigres dès le début jugeaient et punissaient. Par la peine de mort.
- Comment les gens le savaient-ils ?
- Ils annonçaient que la punition d'un inadapté social allait avoir
lieu. Ils indiquaient le lieu et exigeaient que tout le monde assiste
au procès […] Le coupable devait être exécuté et non pardonné. […]
Ils leurs tiraient une balle dans l'oreille. Elle entrait d'un côté,
ressortait de l'autre. C'était toujours la même chose.


Les gens appelaient ça « la couronne de fleurs », une balle dans le front c'était le « pottu ».


À stratégie de désespérés, vallée de larmes... Ci-gît le paradis. « Les fantômes venaient demander de l'eau à minuit. »


Jude Ratnam laisse le film respirer – et nous, spectateurs, tant le propos malgré les silences, les retenus, les non-dits, demeure dense et épais. Son intention est l'apaisement plutôt que la pugnacité de celui qui réclamerait justice quitte à continuer la guerre par d'autres moyens. Le rythme du film, son économie sont ceux d'un cheminement autant mémoriel que géographique au gré des lieux, des retrouvailles, des témoignages. La bande-son du film participe à la fragile sensation d'être sur un fil ténu, cette oscillation d'un temps paradoxal. L'alternance des scènes diurne et nocturne concourt largement à marquer le temps nécessaire à la démarche entreprise. Se concentrer, savoir interroger, cadrer le lieu où poser les questions justes ne s'improvisent pas. Jude Ratnam a préparé ce film durant quelques dix années avant d'être en mesure de retourner sur ces lieux de violence, retrouver des innocents, des coupables ou encore des témoins directs et éprouver l'absence de ceux qui n'ont pu échapper aux sacrifices. Ce film est aussi celui des fantômes, ceux qui hantent les terres environnantes de Jaffna où des témoins affirment que « des bruits bizarres de gens qui sont morts » se font entendre passé minuit. Les scènes nocturnes éclairées par la lampe rougie d'une chambre noire, ou par les lueurs d'un feu de bois ne sont pas sans rappeler le plan d'une crémation, ce moment d'embrasement du corps qui permettra à l'âme de dépasser l'enveloppe première. Mais Jude Ratnam n'erre pas, il n'est pas un fantôme, il n'attend pas un autre paradis et s'il a choisi le médium cinématographique c'est pour la puissance de réincarnation qu'il recèle. Son film s'ouvre et se referme à la lueur d'un soleil de vérité plutôt que dans l'opacité nébuleuse des limbes.


Dans la dernière demi-heure du film, Jude Ratnam retrouve un ancien des Tigres Tamouls pour une marche nocturne sur les lieux mêmes d'une embuscade qui fit, aux dires de cet homme, 800 ou 900 morts, « un nombre énorme ! ». Celui-ci se demande encore si ceux qui y ont participé et qui se sont depuis exilé, au Canada pour une large part, éprouvent ne serait-ce qu'un peu de culpabilité quant à leurs actes. « Au moins, s'il y avait eu une discussion... Mais il n'y a rien eu ! » Double peine liée encore une fois à la langue. Cette langue que l'administration a rendue caduque ne leur servait même plus à communiquer entre-eux. Double défaite ; double victoire des occupants et de leurs successeurs, l'ethnie dominante des cinghalais. La langue ne ment pas, elle fourche ou bien elle se mord. Elle se retourne fatalement contre soi, serpent qui se mord la queue, ultime sursaut de la défaite, pulsion de mort, suicide collectif. De quoi cette guerre idéologique est-elle le nom ? Peut-être d'une intériorisation de la demande d'alignement à un point tel que tous les particularismes au sein même de la communauté tamoule seraient devenus de trop quand chaque jour l'espace symbolique de vie se restreignait, ou bien, plus prosaïquement, comme dans toute lutte radicalisée, d'une guerre des chefs qui laisse la cause initiale périr par accès de paranoïa emportant tout sur son passage comme une lame de fond ?


Il revient à Jude Ratnam d'avoir su réunir les quelques témoins, ex-militants armés de différentes factions tamoules, pour un échange au cours d'une scène nocturne édifiante dans l'atmosphère clair-obscur teintée d'une dominante rouge comme celle d'une photographie dont les couleurs auraient viré avec le temps. C'est auprès du feu, espace prométhéen, que les esprits se remémorent et redistribuent les cartes d'une mémoire jusque-là figée par le regard de Minerve d'une guerre fratricide qui n'eût de termes que dans l'anéantissement. « De quel droit peut-on revendiquer le Tamil Eeelam ? » interroge l'un d'eux quand ni fraternité ni unité n'a régné toutes ces années...


Au terme de ce voyage que représente le film au cœur d'un pays portant des traces fragiles sinon muséales (et publicitaires, nourritures à touristes, c'est-à-dire manipulatoires) de ses meurtrissures, Jude Ratnam filme dans une séquence poignante la coupe de l'arbre tentaculaire qui recouvrait le train immobilisé par les Tigres Tamouls. Seraient-ce les racines de leurs propres aïeux que ces hommes coupent ? Ou bien un avenir possible qu'ils libèrent, loin des considérations identitaires du passé ? N'y-a-t-il pas une part indéfectible qui s'abîme dans cet arbre abattu ? Cette aliénation d'une part de soi serait-elle le prix à payer pour que règne un semblant de paix sur l'île de Sri Lanka ? Enfin, une paix de façade peut-elle se substituer à une paix réelle, durable et acceptée pleinement ?


Conjurer la peur


Si une paix ne se déclare pas, elle ne peut advenir que par l'expression honnête d'une vérité offerte à l'autre dans l'éclairement lucide de la conscience. Dans l'un des derniers plans du film, tandis qu'il appose ses mains sur les parois rouillées du train-fantôme par un geste chamanique de conjuration, les dernières paroles du cinéaste sont loin d'être celles, illusoires et vaines, d'un faux-prêcheur.
C'est aux vivants qu'il s'adresse...


À Jude Ratnam l'ultime litanie : « Tamil Eelam. Comment nos espoirs ont-ils peu se transformer en une telle cruauté ? Aujourd'hui, dans notre pays, on nous demande d'avancer en oubliant le passé. Presque toutes les traces de la guerre ont été effacées. On veut tous croire au développement du pays, quoi que cela signifie. On nous demande de renier notre identité pour aller de l'avant. Mais je sais que cette peur que l'on enfouit en nous est prête à refaire surface à tout moment. Ce qui me surprend c'est qu'aujourd'hui encore, beaucoup dans la communauté croient au Tamil Eelam et se disent prêts à tout pour l'obtenir. Je me souviens, quand la guerre touchait à sa fin, je voulais que les Tigres perdent le combat. Ce combat que nous avions commencé, cette folie, nous devions y mettre un terme, même s'il fallait en passer par la mort de mon peuple. Pour le dire autrement, ce jour là, j'étais devenu un traître. A la fin de la guerre, lorsque mon fils est né, je lui ai donné un prénom tamoul. Nethran. Le troisième œil du dieu Shiva. Un symbole de la culture tamoule. Je lui ai donné ce prénom comme une promesse. Afin qu'il voie loin, au-delà des peurs. »


Cindy Rabouan © ACOR, 2018

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le 21 mars 2018

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