le 5 juin 2025
Clap, clap, clap...
Histoire vraie : salle Agnès Varda, le générique de fin se lance, c'est avec la bouche en cœur qu'on applaudit bruyamment...et qu'on entend les échos de nos propres applaudissements. Solitude. "Ah...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
La dépression périnatale est désormais moins un tabou et le cinéma, à son échelle, a aussi joué son rôle dans cette évolution, avec un film comme Hungry Hearts, largement au-dessus des autres dans cette catégorie, avec une Alba Rohrwacher époustouflante. L'actrice italienne laisse assez loin dans le rétroviseur la Jennifer Lawrence de Die my Love, qui en fait pourtant beaucoup pour nous emporter dans sa folie, mais elle n'est pas aidée par la mise en scène maniérée de Lynne Ramsay. La réalisatrice de Ratcatcher, un premier film qui annonçait la couleur, n'est pas du genre à installer les spectateurs dans le confort et parfois, cela peut donner des œuvres estimables et impressionnantes comme We need to talk about Kevin, mais le plus souvent la forme dépasse largement le fond, dans des narrations éruptives quand elles ne sont pas au bord de l'expérimentation. Écrit pour susciter le malaise, Die my Love semble plutôt exploiter son sujet à des fins volontairement radicales, au détriment d'une quelconque émotion, eu égard au peu de prise laissée par son personnage principal, et aux miettes distribuées aux autres protagonistes (pas beaucoup pour un Pattinson très effacé, un peu plus pour une Sissy Spacek qui parviendra toujours à nous faire vibrer avec des bouts de scènes). Lynne Ramsay a accouché avec douleurs d'un film assez laid et chichiteux, malgré quelques brèves fulgurances. Avec un thème aussi sensible, c'est très décevant.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste 2026 en avant-première(s)
Créée
il y a 3 jours
Critique lue 55 fois
le 5 juin 2025
Histoire vraie : salle Agnès Varda, le générique de fin se lance, c'est avec la bouche en cœur qu'on applaudit bruyamment...et qu'on entend les échos de nos propres applaudissements. Solitude. "Ah...
le 18 mai 2025
Ce film est un piège.Vous êtes content d’aller le voir et vous vous retrouvez coincé dans la salle de cinéma, plus moyen de partir et vous subissez ce film (peut on le qualifier vraiment ainsi?)Aucun...
il y a 3 jours
La dépression périnatale est désormais moins un tabou et le cinéma, à son échelle, a aussi joué son rôle dans cette évolution, avec un film comme Hungry Hearts, largement au-dessus des autres dans...
le 28 mai 2023
Depuis quelques années, le cinéma français, et plus particulièrement ses réalisatrices, trustent les lauriers dans les plus grands festivals. Au tour de Justine Triet d'être palmée à Cannes avec...
le 25 août 2021
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 sept. 2021
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique