Le scénario n'a pas à rougir de la concurrence avec les Lagardère, les Capitan et les Zelda… d'ailleurs l'auteur du texte initial est français et Jules Massenet l'a utilisé comme livret d'Opéra. La mise en scène est excellente même si le réal abuse des plans rapprochés, et si on peut reprocher quelques ellipses malencontreuses. La scène de la poudre est quasiment une leçon de cinéma. Quant à la sulfureuse Annliese Uhlig elle est bien troublante. Que des bonnes choses, donc… sauf que le rôle principal a été confié à Gino Cervi et là ça ne va plus du tout, jamais crédible, limite ridicule, il finit par gâcher le film.