Comme dirait Thieffaine, je préfère les filles du sud

L'histoire raconte la rencontre entre un quadragénaire assez aisé (grâce à son magnifique boulot qu'on ne connaîtra jamais et dont on doit faire référence que 2 ou 3 fois) nommé Daniel et un jeune homme ukrainien (censé être beau, jamais vu quelqu'un d'aussi quelconque mais passons), Marek. Celui ci fait partis d'une bande de gens venant de l'est (c'est des malades les gens de l'est), dirigé par le seul bon acteur du film, au nom évocateur de Boss. L'histoire se forme en quatre chapitre, que je vais allégrement spoiler, si vous ne voulez que le pitch de base, lisez les 2 premiers.

Premier chapitre. Ou celui très chiant pour bien commencer le film. En gros ce chapitre qui dure entre 10 à 15 minutes se résument au fait de montrer une bande de jeune dans une gare, suivit par le quadra, qui a repéré un des jeunes de la bande. Dès que celui ci s'écartera, bien conscient qu'il plaît à Daniel, il se fera rejoindre par celui ci afin de mettre en place des rapports tarifé. Et voilà. C'est tout en 15 mn. Je crois que les 5 premières mn peuvent se résumer en une idée: des jeunes de l'est dans une garde. Pour bien le montrer, on a moult plans d'ensemble sur les jeunes dans la gare, les jeunes en dehors de la gare, les jeunes au mac do, les jeunes regardant quelqu'un se faire piquer sa casquette. Palpitant. A noter que Marek ne parle pas français mais juste Ukrainien (ou russe, ou hongrois, ou quelconque langue que je ne sait pas reconnaître) et anglais. Le rendez vous est fixé au lendemain, à l'appartement de Daniel à 18h.
Deuxième chapitre. Le lendemain 18h. Daniel attend son RDV. La porte sonne, et Daniel l'ouvre alors pensant voir Marek. Mais ce n'est qu'un enfant de 8 ans, se passant pour Marek (j'ai pas trop compris à quoi servait ce détail du plan, sûrement juste le moyen de se foutre de la gueule de Daniel) qui se faufile à l’intérieur de l'appartement et accuse Daniel d'avoir voulu avoir des rapports pédophile avec lui. La porte sonne alors, laissant rentrer toute la bande. Tout ces jeunes gens partent alors dans toute les pièces, fouillant partout, et commençant à faire comme chez eux (se faire une partie de COD sur la télé, faire un peu de muscu, piquer le compte youtube de Daniel et mettre des j'aime à toutes les vidéos de Norman). Daniel ne pouvant rien faire face à cette ouragan moldaves regardera la scène d'un œil distant... puis finira par danser avec les squatteurs, laissant ses affaires disparaître peu à peu. Ce chapitre est le seul un peu sympa du film. La réaction de Daniel est certes un peu bizarre, mais il ne pouvait pas faire grand chose (à part peut être foutre le gamin de 8 ans dehors au début) et sa faiblesse parle. En faite les plans sont plutôt sympa, et même si c'est un peu long, l'ensemble est correct. A tel point, qu'à ce moment là je me disais que le film était moyen, mais avec un bonne suite pourrait avoir une note correct. Et après la première partie, c'est plutôt pas mal. Ce second chapitre permet surtout de rencontrer le seul perso pas trop pénible: Boss. En faite, au début je connaissais que très vaguement le pitch du film, et j’espérais que la relation gay se ferait avec lui. Mais non. Dommage.
Troisième partie. Déjà, il faut dire que les 2 premiers chapitre ne tiennent environ que 35-40 minutes (comment suis je aussi précis? parce que je regardais souvent ma montre pardi), et que donc il reste 1h20 de films pour encore deux chapitre. Et celui ci doit en prendre les 3/4. Et c'est long. Ce chapitre commence le lendemain de la sympathique soirée, où Marek revient sonner à la porte de Daniel. Celui ci ne veut d'abord pas lui ouvrir la porte par deux fois, mais finalement le laisse entrer car Marek lui dit qu'il est seul. L'ukrainien revient pour l'offre donné à la gare, soit des rapports tarifé (aaaaaaaaaaaaaaah mais en faite c'est qu'il s'était juste trompé de jour, d'accord). Daniel acceptera (l'amour rend aveugle j'imagine) ce qui sera le début d'une relation qui grandira au fil du temps (dont on a toute les évolutions, à notre grand plaisir). Passons 30 mn de film (facile) et simplifions en disant que Daniel et Marek se voient de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps, et que la bande de l'est lui posent de plus en plus de question. Leurs relations changera complètement alors, car Daniel recouvrera un instinct paternel, et ne voudra plus coucher avec lui, lui donnera une chambre bien à lui, lui demandera de trouver un travail mais aussi de quitter sa bande initial. Bon si on enlevé des tas de problèmes technique et thématique que je soulèverais à la fin, ce chapitre est long, chiant et truffé d'incohérence ou de moments plats.
Quatrième partie. Ou le festival. Car si la troisième partie est chiante, celle là est ridicule. Marek retourne là où crèche sa bande (qui se trouve être un hôtel où la préfecture les a mis), afin de récupérer ses papiers de séjour (ou que sais je) détenus par Boss (qui est le chef de la bande, je sais pas si vous êtes arrivé à suivre sa fonction). Celui ci s'en apercevra et donc l'attachera et l'enfermera dans une des chambres. Arrêtons nous là par l'un des plus gros problème du chapitre. Marek n'est JAMAIS en danger. Du coup l'affaire prend de grosse proportions, mais on s'en fout un peu parce qu'on sait que ça finira normalement. Boss dit clairement qu'il fait ça à Marek pour l’empêcher de recommencer. Donc qu'il ne compte ni le tuer, ni l'esquinter profondément. On a aussi pas mal de chose bizarre, comme deux de ses sous fifres qui veulent appeler l’hôpital car Marek saigne du nez. Franchement? Même moi si je prend un coup et que je suis un peu blessé, je vais pas aller à l’hôpital, alors un sans papier? (rappelons que Marek précédemment ne voulait pas aller à l’hôpital à cause de ça). Bon continuons, Daniel ne pouvant joindre Marek, s’aperçoit qu'il est peut être en danger et va donc louer une chambre à cet hôtel pour pouvoir le faire s'enfuir. Il arrivera à récupérer Marek grâce à un nouveau personnage fascinant qu'est la gérante de l’hôtel et donc le ramènera dans sa chambre. Boss retrouvera sa chambre vide, et commencera a s’énerver gentille ment sur le personnel (le pire étant un coup de poing). Daniel alors, au lieu de rester calmement dans sa chambre à attendre que tout ça se calme pour filer à l'anglaise la nuit tombée, appellera alors la police afin que la bande soit arrêter et qu'il puisse profiter du marasme pour s'enfuir. Oui donc en gros il se met en danger alors qu'une voie simple pour tout le monde était possible. Heureusement, le scénario permettra à son plan de marcher (malgré deux-trois moments où il aurait pu se faire avoir, me confirmant qu'attendre était plus sur) et il s'enfuira. S'ensuit un happy end où il change d'appartement et arrive à naturaliser Marek en le désignant par la loi comme son fils.


Voilà. Passons à l'analyse hors-histoire.
J'ai pas envie de faire le cliché "ce qui est bien: l'image / ce qui est nul: le reste" mais c'est un peu ça...
La manière de filmer et très correct, j'ai particulièrement apprécié les plans d'ensemble du premier chapitre, qui m'a clairement changé de la réalisation de got. J'ai trouvé cette réalisation un peu mieux que les images neutres qu'on nous sert assez souvent dans les films. Pas folle, mais sympa.
Un truc qui aurait pu être pas mal est aussi le fait que chaque chapitre a ses propres codes, voir "genre". Le premier chapitre est filmé de manière distante, documentaire, quasi voyeuriste. Le second lui est une soirée qui vire au drame sans que Daniel ne puisse rien faire. Le troisième est la passation d'une relation sexuelle à paternelle. Et la quatrième est décrit par certain comme un thriller (on peut bien faire des thriller ridicule remarque, regardez L'amour est un crime parfait). Cette idée est plutôt pas mal, et marche bien avec de bons films comme le loup de WS.
Troisième chose assez positive, c'est que j'ai l'impression que c'est un film avec des gays mais qui ne traite pas de l'homosexualité. La relation ne serait pas passer avec des hétéros (j'ai vraiment du mal à imaginer une histoire similaire où Daniel ou Marek serait une fille) et pourtant ça ne traite pas beaucoup de l'homosexualité. Ce qui est je trouve une bonne chose (genre les gays peuvent être des personnages d'un film sans que toutes leurs caractérisations passent par ça et qu'ils aient des dilemmes autre que leurs sexualités).

Mais alors le reste...
Déjà techniquement, il arrive dans des émissions comme Crossed, qu'on nous dise qu'on apprend plus de la manière de fonctionner d'un film avec un mauvais film qu'avec un bon. Et je l'ai expérimenté avec celui là. J'étais tellement sortis du film la plupart du temps que j'ai remarqué plein de truc qui allait pas.
J'ai trouvé la mise en scène vraiment ennuyeuse. Le montage est vraiment horrible, d'habitude je ne suis pas contre que ça soit lent (j'adore Jean Pierre Melville) mais là... On a des tas de plans qui ne servent à rien. Mais vraiment à rien. Par exemple quand Daniel arrive à l’hôtel et loue une chambre à la gérante, ils vont alors vers l'ascenseur et on a ça: Daniel et la gérante rentre dans l'ascenseur, le plan a 2-3 sc en trop où on voit la porte de l'ascenseur se refermer (et 2-3 sc en cinéma c'est beaucoup)/plan des deux dans l'ascenseur avec un ("- ça va? - oui oui ça va")/plan sur Marek séquestré dans la chambre/plan des deux qui sortent de l'ascenseur. A quoi servait ce plan au milieu dans l'ascenseur? Franchement? Et je parait pinailler mais ce genre de plan on en a de partout. J'étais à un séance à 22h où on était que 2 dans la salle (un couple s'est barré au deuxième chapitre), et j'ai du passé la fin à hurler silencieusement à cause de ce genre de chose. Un autre exemple, on doit avoir 2-3 mn sur une femme de ménage qui nettoie l'appartement de Daniel le matin. C'est quoi la finalité de ça? Un jour elle voit Marek dans la salle de bain alors que Daniel est partis travailler. Est-ce que ça aura une conséquence? Non. Est ce qu'il y aura des discussions là dessus? Non. Est ce que ça change indirectement le point de vue de quelqu'un? Non. Alors pourquoi? Franchement pourquoi? Et encore une fois, ce n'est que deux exemples dans un marasme de plans inutiles. Je suis presque sur que le premier chapitre contient plus de plan inutile que des films de 3h comme le loup de WS ou Bilbo le hobbit.
Une autre chose, c'est que à plusieurs moment j'ai eu l'impression de lire le scenario ou le story bord devant moi. Par exemple quand on nous présente pour la première fois l’hôtel où vit la bande de l'est, on suit la gérante qui direct demande à des clochards de ne pas fouiller les poubelles. Ca c'est de la caractérisation de lieu. Et ça se voit comme les yeux au milieu de la figure qu'il fait ça pour montrer ça. Et voir toute les ficelles me gênent profondément.

Passons au personnage. Déjà si on enlève Boss, tous, mais bien TOUS, jouent mal. Mais très mal. Et des acteurs qui jouent aussi piètrement c'est le meilleur moyen pour se faire sortir d'un film.
Ensuite la psychologie des personnages:
- Daniel. Oh mon dieu ce Daniel. Comme je l'ai dit je peux à la limite comprendre son attitude passive lorsque la bande vient squatter chez lui. Mais alors le lendemain quand Marek revient... Au départ on voit Daniel en colère contre Marek (légitimement quand même) et ne veut pas lui ouvrir par deux fois. Mais dès que Marek lui dit qu'il est seul et qu'il lui ouvre, au lieu de garder une posture hostile comme toute personne ferait, il lui propose un verre d'eau.... QUOI ! Quelqu'un vole tout ton appartement et ensuite tu le mets à l'aise? Franchement? Mais il s’arrête même pas là. Quand Marek lui propose de coucher avec lui, c'est Daniel qui dit bien "c'est toujours 50 euros c'est ça?". Mais... Quel humain se ferait à ce point entuber, et en redemanderait? Certain pourrait dire qu'il est lâche. Mais il est pire que ça. Un lâche aurait tout fait pour que ça ne recommence pas, lui donne le bâton pour se faire battre.
On peut rajouter à ça qu'à un moment il parle de ses amis et de son travail, mais à part deux plans avec ses amis, on en voit ni la couleur, ni les répercussions.
- Marek. Ah lui aussi il est gratiné. Outre le fait que c'est l'un des acteurs les plus transparent que j'ai vu (bon après un peu moins mais vraiment au début, je suis sur que la caméra faisait tout pour le centré et le mettre en valeur, mais alors que j'avais repéré Daniel depuis un bon bout de temps, lui non (peut être que l'une des seuls choses visuelles pas téléphoné est du coup du à la fadeur d'un de ses acteurs principaux, c'est beau)), Marek est quand même un sacré connard. Déjà normalement Marek est censé être revenu parce qu'il s'en veut (c'est ce que j'ai lu à droite à gauche), perso je le vois revenir pour l'argent. Ce qui cimente le couple Daniel/Marek c'est que Daniel est faible et Marek veut de l'argent. C'est beau encore une fois. Mais alors là où Marek devient un vrai connard, c'est que genre 1 mois après le vol de l'appart de Daniel, Marek lui reproche de ne pas lui faire confiance.... Quelle sorte d’égocentrique doit on être pour reprocher ce genre de chose? Son argument étant qu'il a confiance en Daniel alors il devrait avoir confiance en lui. C'est à cause de ce genre de scène que j'éructais en silence. On peut aussi souligner le fait qu'il n'est pas censé parler français, mais qu'il devient assez vite fort (c'est vrai qu'il y a 2-3 scènes où on voit Daniel lui apprendre des mots en français mais aussi vite? avec de si bonne construction de phrase? j'ai du mal à avaler ça). D'ailleurs la compréhension des autres langues est assez magnifique. Marek pige quasiment dès le début des phrases française assez compliqué (alors qu'il n'a même pas le vocabulaire de base), et Daniel des belles phrases en anglais alors que c'est une buse là dedans (heureusement que son travail fantôme bien payé ne lui demande pas de maîtriser un minimum d'anglais).
- Boss. Perso le seul personnage que j'ai à peu près apprécié. Il est fun à voir jouer, il a des yeux très clairs et l'acteur joue correctement. Bon il a des moments nuls mais c'est le moins pire. Le second chapitre où il est le plus étant le seul correct.
- La dirigeante de l’hôtel. Magnifique celle là aussi. Elle doit avoir un jolie temps d'écran dans le chapitre 4 et ne sert qu'a deux choses: dire à quel étage sont la bande de l'est et ouvrir la porte où Marek est séquestré. Tout le reste c'est du "ça va?" "qu'est ce qu'il se passe ici?" "je fronce les sourcils mais j'ai aucune autorité". Une blague. Comme son interprète.

Rajoutez à ça une fin en apothéose avec des policiers qui excluent des familles d'immigrés sur musique joyeuse, un personnage qui se fait poursuivre par les flics, est sur le rebord d'une fenêtre, à deux doigts de sauter et.... dont on ne reparlera plus, Daniel qui maîtrise Boss d'une seule main (sisisi un grand moment), des policiers qui sont censé couvrir un tel périmètre qu'ils rentrent dans toutes les chambres de l’hôtel, mais qui laissent partir Daniel le blanc au volant de sa voiture en lui demandant au passage s'il a vu des suspects.
Et vous obtenez un film d'un amateurisme évident. Niveau lycéen. Si on enlève la caméra, je pense franchement pouvoir faire un meilleur film. Avec une meilleur mise en scène, une histoire plus intéressante, de meilleurs acteurs, et un meilleur montage. Et voir un film où je me dis que je peux mieux faire est un peu embêtant. Surtout quand il a reçu le prix du meilleur film dans une catégorie de la mostra de Venise (un des 3 meilleurs festivals européen) et qu'il a une note de 7.5 sur sc. En faite, j'ai très envie de reprendre les mots de djaevel sur ce film: "D'ordinaire, quand je démonte un film encensé par la critique, je préfère dire "j'aime pas". Cette fois, je vais me risquer à dire "c'est nul"."


Bon sinon pour finir, je vais un peu parler de l'ensemble du message du film. Chose que je ne voulais pas faire de prime abord.
Durendal a fait une critique de ce film (que j'ai vu après le film, donc pas d’à priori), où il dit que le réalisateur a fait ce film en partie pour montrer au défenseur de la manif pour tous que les homosexuels trouveront toujours un moyen d'adopter. Il souligne ensuite la contre productivité de ce genre de message vu que la relation amant se transforme en relation paternel (il a réussis à faire pire que How I Live Now). Mais j'irais encore plus loin. Si Daniel est censé représenter les homosexuels qui peuvent adopter par d'autre biais, alors pourquoi en avoir fait un gros connard? Car oui, si je rigolais de la musique joyeuse pendant l'expulsion des musiques d'immigrés, ou le fait que les policiers laissent partir Daniel le blanc, ce n'est pas à cause de l'incohérence de la chose. Je vois très bien ce que veux me montrer le film, mais le voir ainsi venir avec ses gros sabots rend ces scènes ridicules. Bref, le fait d'avoir couplé Daniel l'enfoiré et Daniel l'adopteur n'est pas que contradictoire, c'est aussi nauséabond. Ce film fait plus mal à la tolérance qu'il ne le sert.

C'est très très mauvais.
2/10
Houblon-Warrior
2

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le 10 avr. 2014

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Houblon-Warrior

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