Traversez l’Amérique en Harley Davidson, image type d’une Amérique libre. Après les années hippies de “Flash”, voici les années hippies aux USA. Casque et manteau aux couleurs de la bannière étoilée, pantalon de cuir, veste à franges, portrait typique de deux américains désireux de voyager.

S’ouvrant sur une musique qui donne le ton: “Born to be Wild”, Easy Rider vous emmène dans les endroits les plus reculés d’Amérique, bien loin des villes et de leurs folie, sur les longues routes transversales, bienvenu Into the Wild.

Partant à la rencontre de la population, découvrant de magnifique paysage, nos deux, puis trois compères nous emmènent en road-trip. Le réalisateur prend le temps de la contemplation, appuis également sur les contacts: les soirées autour du feu, les rencontres, les dialogues, les découvertes, les idées d’un soir… bref une œuvre qui prend son temps pour vous décrire un voyage profondément humaniste. Porté par une poignée d’acteurs merveilleux (Jack Nicholson plus brillant que jamais ("nik, nik"), le film ne perd jamais de son intérêt.
SlimGus
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le 1 nov. 2012

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Gaylord G

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