Débandade 2 !

Le premier volet dégageait un potentiel non exploité, mais prometteur pour la suite. Dommage, ils ne l'ont pas vu. Enfin, ils ont juste vu le potentiel de Chuck et de Schwarzy ... mais justement ces deux là ont plombé le film. Non pas parcequ'ils ont été nuls individuellement, mais ils sont tombés dans un film "ni queue ni tête".

Récapitulons, la première partie a été bonne qui nous a fait saliver pour la suite du film en intégrant parfaitement le petit gamin sniper dans la fine équipe, et après c'est la débandade ! Après une heure de pause sans actions alléchantes et avec des punch lines référencés (toutefois ces derniers ont été subtilement utilisés provocant une petite touche humoristique). Les incohérences absurdes commencèrent à s'entasser. Chuck et Schwarzy sortant de nulle part à chaque fois, et je ne sais comment pour sauver la team.

Ensuite, encore une fois les qualités de chacun des expandables sont pas assez exploitées, avec même la surprenante disparition de Jet Li, dommage c'était le seul qui savait réellement se battre sans se basant seulement sur ses muscles, après tu m'étonnes qu'ils ont eu du mal à battre Jean Claude et son bras droit. et à la fin, on devient spectateur d'une romance entre la chinoise et le chef, petite amourette vraiment soudaine qui donne un gout amer à ce cocktail basé sur du testostérone et sur des "booms" à foison.

Bref, messieurs, à trop vivre dans le passé, on se perd au présent. Peut-etre que les papis ont été touchés par la malheureuse maladie de l'alzheimer car ces incohérences sont trop dures à être négligées, ils ont probablement oublié d'inclure dans le montage du film les quelques scènes qui auraientt surement éclairé ces interrogations sans réponses.