Banksy réalise un film sur le street art, l'idée de présenté l'essence et la naissance du mouvement était bonne seulement le sujet n'est traité que 30mn. Car dépassé ce stade le doc se transforme en portait de Thierry guetta dit Mr brainwash(son pseudo ressemble a un mauvais nom de groupe de rock des années 90) un personnage médiocre qui s'est trouvé au bon endroit au bon moment avec sa camera. Ce qui lui a permis de filmer des choses essentielles du mouvement mais pourquoi faire? Car ce type est trop faignant et surtout trop mauvais pour faire quoique ce soit avec le matériel filmé. Pour preuve les extraits diffusés dans le doc, sont juste irregardable. Banksy reprend donc ce doc à son compte et montre que sans le savoir et le vouloir, les auteurs du street art on créé frankenstein en la personne de Mr brainwash. Un monstre incontrôlable opportuniste qui arrive sans le moindre cerveau, ni la moindre once de créativité et encore moins d'identité à s'imposer(sans avoir fait ces armes) en deux temps trois mouvement comme une référence du mouvement. Mouvement auquel il n'a absolument rien compris, puisqu'il pense qu'en faisant un simple meltingpot des idées créatrices des artistes rencontré plus une petite touche warholiene, lui permettront de créer son propre style. Ce n'est pas si simple mais pourtant ça marche auprès des spéculateurs qui ne prêtent pas attention à la qualité des œuvres mais plus à leur valeurs monétaires. De quoi dégouter n'importe quel acteur du mouvement ayant trainé ces bombes sur les toits des villes. La rumeur semble associer banksy à Mr brainwash mais les 2 n'ont absolument rien a voir, ni au niveau éthique et encore moins au niveau créatif. Car n'importe quel crétin ou mauvais graphiste peut être l'auteur des peintures faites par guetta ou plutôt par ces assistants .Ce mec est atteint par le mal des crétins de la télé réalité, exister devant la camera mais pourquoi faire quand on a n'a rien a montrer ni a dire, et aucun talent? Les protagonistes du street art lui on donné une matière pour qu'il puisse exister devant la lumière des cameras. Un feu de paille que les pionners du street art aimeraient tant arrêter en pissant dessus.