le 9 janv. 2014
Hongrois rêver
Douze ans avant la Chevauchée de bannis, le Hongrois Andre De Toth s'essaie déjà au western version film noir (à moins que ce ne soit l'inverse). Autant dire que pour le puriste que je suis, Femme de...
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La femme de feu, c'est Veronica Lake (d'où l'expression : il y a le feu au Lake ?), exquis tanagra qui illumina de sa blondeur quelques films noirs des années 40. Ici, elle est au crépuscule de sa carrière, dans un western où elle joue le rôle d'une fieffée gourgandine, salope serait un mot plus juste, à cause de qui s'affrontent deux clans rivaux. Joel McCrea, grand naïf et alcoolique repenti, mettra du temps à comprendre -une bonne douzaine de morts- à quoi joue cette sorcière au visage d'ange. Dirigé par de Toth, un ex de Veronica, soit dit en passant, le film est brutal et développe un scénario qui surprend par sa relative complexité. Il n'a pas la densité de ses westerns futurs, mais peut se ranger sans problème dans la catégorie plus que honorable.
Créée
le 2 août 2019
Critique lue 262 fois
le 9 janv. 2014
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