Antépénultième des 14 films de l'italien (on s'en serait douté) Paolo Virzi, 58 ans qui devait plus être à la recherche de médailles en chocolat en pondant ce film, qu'à celle du succès public !
En France, 130 214 spectateurs n'ont pas craint d'affronter les interminables bavardages foireux des deux donzelles complètement déséquilibrées. de cette histoire à dormir debout....
(avec boules Quiès de rigueur)
En matière de cinéma, les italiens peuvent décidément être capables du meilleur comme du pire.
C'est hélas le cas ici, (le pire) et ça m'a rappelé ce séjour à Venise où, couchés tard, à l'hôtel, ce n'est pas le chant du coq qui nous réveillait, mais les tonitruantes italiennes braillant à qui mieux mieux sur le seuil de la boulangerie voisine. Relayées par les techniciennes de surface de l'hôtel ayant appris ce jour-là de ma part que les couloirs des chambres ne constituaient pas un agora vénitien.
Mais bon, passons...
Paolo Virzi est complètement inconnu en France et le restera...
Je renonce donc à vous expliquer ce film médico-intello-psychologique auquel je n'ai pas accroché ne fut-ce qu'une dizaine de minutes, soulé, laminé.... par les interminables blablabla italiens !
Basta, va bene et tutti quanti : je me suis emm..., pardon franchement enquiquiné.
Peut-être que la production avait misé sur la présence de "qui vous savez" : Valéria Bruni, au décolleté généreux, pour attirer le vulgum pecus : de ce côté là, ça a raté ! Sur tous les autres aussi d'ailleurs !
Pourrait servir de pub aux célèbres boules Quiès (27 dB en moins !)
la trois (RTBF) le 14.05.2022