Signaler
Faible
Le vivre-ensemble en dépit des différences, enjoignant chacun à assumer les siennes autant que celles des autres. Une bien belle leçon de vie, dont le cinéma se fait le chantre pour la ressortir à...
il y a 3 ans
10 j'aime
Le vivre-ensemble en dépit des différences, enjoignant chacun à assumer les siennes autant que celles des autres. Une bien belle leçon de vie, dont le cinéma se fait le chantre pour la ressortir à toutes les sauces. Forte rejoint la liste (déjà conséquente), avec son héroïne potelée qui cherche à affirmer sa féminité à travers le pole-dance. Vous vous en doutez, le chemin à parcourir sera long pour elle...
Le comique à tirer d'une telle histoire se fonde habituellement sur le ressors de l'insolite, avec en filigrane la critique des conventions sociales. Pour fonctionner, le film devrait donc être drôle et rythmé. Ce qui n'est absolument pas le cas de Forte. Le long-métrage de Katia Lewkowicz se montre incroyablement avare en gags. Ni l'écriture ni la mise en scène ne parviennent à déclencher le rire, même un instant. À quoi se raccrocher si l'objectif premier est manqué ? Dans une telle configuration, une durée raisonnable de 1h35 devient éprouvante puisque l'ennui mène la partie. Même le message - à priori bienveillant - passe assez mal, puisqu'il est expédié avec la finesse d'un bulldozer. Et des portes ouvertes, le film en enfonce pas mal (on peut être une femme avec des rondeurs ; féminité et vulgarité, c'est pas pareil,...).
Heureusement, les comédiens s'efforcent de jouer. Ce n'est pas fascinant, certains seconds-rôles semblent ankylosés (Valérie Lemercier) mais au moins l'interprétation est assez juste (merci Bastien Ughetto). Si la gêne prédomine pendant la séance, eux n'y sont pas pour grand chose. Hélas, ils n'arrivent pas à la réduire non plus. Contentez-vous de l'affiche, j'ai envie de dire. Il vaut parfois mieux fantasmer un film pour ce qu'il pourrait être que de découvrir ce qu'il est dans les faits.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Flops 2020
Le 16 avril 2020
10 j'aime
Signaler
Le vivre-ensemble en dépit des différences, enjoignant chacun à assumer les siennes autant que celles des autres. Une bien belle leçon de vie, dont le cinéma se fait le chantre pour la ressortir à...
il y a 3 ans
10 j'aime
Signaler
Pour Forte et son sujet très personnel Melha Bedia, humoriste, scénariste et sujet principal du film, est allée chercher une réalisatrice issue du cinéma d'auteur, Katia Lewkowicz (Pourquoi tu...
il y a 3 ans
8 j'aime
Signaler
Voilà une bien toute petite chose, qui évolue plus dans le niveau d'un téléfilm que de celui d'un film. Visuellement déjà c'est d'une vraie pauvreté, et on est bien plus proche d'une production télé...
il y a 3 ans
4 j'aime
Signaler
Peut-on partir avec un avantage si l'on décide d'aller voir l'adaptation d'une œuvre matrice dans la littérature ? Oui, en ne l'ayant pas lue. Il n'est pas toujours aisé de jongler entre...
il y a plus d’un an
64 j'aime
10
Signaler
Dur d'échapper à son rôle phare. Propulsée sur le devant de la scène avec le rôle d'Amy dans le d'ores et déjà classique Gone Girl réalisé par David Fincher, l'actrice Rosamund Pike n'a pas ménagé...
il y a 2 ans
57 j'aime
Signaler
Comme je ne sais pas par où commencer, je vais aller directement à la fin : ce film est une catastrophe. Et le mot est faible. Le seul avantage de The Last Days of American Crime, c'est qu'on ne...
il y a 2 ans
29 j'aime
5