le 23 mars 2017
Il est où le Ghost ?
Ghost in The Shell.... Adaptation live des films d'animation Ghost in The Shell et Ghost in The Shell 2 Innocence, sortis respectivement en 1995 et 2004, . Eux même adaptés du manga culte de Masamune...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Bien sûr comme tout fan de la franchise et après avoir péniblement subi quelques adaptations calamiteuses d’œuvres Japonaise pour un public américain, je craignais le pire de cette version de ce que je considère comme étant ma franchise favorite dans le domaine de l'anime.
Pourtant , les premiers teasers et trailers m'ont laissé imaginer que "peut être" ... Certains morceaux aperçus étant directement tirés de choses déjà vues dans les films , séries et OAV.
J'ai donc pris mon courage à deux mains et me suis rendu au cinéma et là, je me suis pris une putain de claque qui m'a laissé la bouche bée et la langue pendante comme le loup pervers de Tex Avery .
Des parties entières reprises au film de Mamoru Oshii et d'autres empruntées soit à Innocence, soit aux séries (La prise d'otage par les geisha (épisode 1 de Stand Alone Complex), l'apparence des mêmes geisha (Innocence), la baston dans la flotte et l'avion qui passe au dessus des immeubles (Le premier film)... Plus qu'une volonté de copier, ces parties sonnent comme un hymne d'amour du réalisateur à l’œuvre originale ...
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Les concepteurs ont l'intelligence de se contenter de nommer "Major" le personnage principal durant la majeure partie du film, seule sa créatrice utilise son nom "Mira Killian" (au passage on garde les initiales), derrière un visuel riche et parfois un peu chargé (seul reproche), qui renvoie à Blade Runner, le film est plus proche du voyage initiatique en quête d'identité (Thème récurrent de Philip K Dick), que de l'actionner bourrin (Pas d'inquiétude, l'action est loin d'être absente).
Si l'on devait résumer, le thème serait, Mira recherche Motoko, au passage les interactions entre Johannson et Kaori Momoi qui joue la mère de Kusanagi sont pure magie.
Texte en gras
Plus remix que remake, le film est une œuvre à part entière qui crée sa propre identité dans un respect absolu du matériel duquel il s'inspire.
J'avoue sans honte avoir atteint un "orgasme" final en entendant le thème de Kejin Kawai au générique de fin.
Loner ou début de franchise? Qu’importe, si Hollywood décide de donner suite en restant à ce niveau de qualité , je suis sans hésiter .
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 25 mai 2017
Critique lue 254 fois
le 23 mars 2017
Ghost in The Shell.... Adaptation live des films d'animation Ghost in The Shell et Ghost in The Shell 2 Innocence, sortis respectivement en 1995 et 2004, . Eux même adaptés du manga culte de Masamune...
le 30 mars 2017
Le Ghost in The Shell de 1995 voyait le Major se poser une question : « Qu’est-ce que je suis ». La version hollywoodienne avec Scarlett Johansson en lead voit ce personnage mi humanoïde mi...
le 1 avr. 2017
Cher abonné, A travers ce modeste avis, j'aurais pu, après vous avoir dit que je m'étais rematé Ghost in the Shell, Innocence, Stand Alone Complex et Arise, me lancer dans un jeu des sept erreurs...
le 3 nov. 2014
Poltergeist était un bon film pour l'époque, il sortait la hantise des manoirs gothiques et lançait des trucs devenus courants pour tout chasseur de fantôme qui se respecte, les effets spéciaux...
le 25 mai 2017
Bien sûr comme tout fan de la franchise et après avoir péniblement subi quelques adaptations calamiteuses d’œuvres Japonaise pour un public américain, je craignais le pire de cette version de ce que...
le 23 déc. 2016
Petite production UFO, (boite de prod d'avant Asylum), conçu pour surfer sur le succès potentiel de "Ghost Ship", beaucoup de CGI cheap, nettement moins gore que son modèle, à voir pour cette vieille...
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