Vous savez dans la vie, il y a des occasions à pas manquer, voir Deep Throat en ciné en est une.
Le film passait dans le cadre d'une soirée organisée par le ciné, avec au programme Midnight Movies, compétition de air sex ( damn dire qu'on a loupé ça) et qui finit en soirée mousse. Fin bon, on est pas là pour parler de la soirée, mais de ce film cul(te) ( allez vous me la laissez passer celle là, je sais qu'elle est facile, mais je m'en serais voulu, si j'avais pas essayer de la placer une fois).


Deep Throat, un des films qui a lancé la vague de porno-chic qui a déferlé sur les USA dans les années 70. Un film qui a coûté environ 25 000 dollars, tourné en 6 jours, dans des conditions exécrables, notamment pour son actrice vedette Linda Lovelace, qui était obligé de tourner certaines scènes par son ex-mari. Celà n'empêche que le film a eu un succès retentissant avec près de 600 millions dollars d’engrangés.


Faire une critique d'un film porno, c'est pas ce qui a de plus simple : ça sert à rien de débattre sur la réalisation, on est dans un porno quoi, enfin faut dire que le réal à quelques idées de plan plutôt bien trouvé quand même. C'est comme ces montages de feu d'artifice, de cloches et de fusées envoyées dans l'espace quand Linda atteint l'orgasme. D'une subtilité rare tout ça.


Faut dire que déjà l'histoire est sortit de nulle part : une femme qui n'arrive à être combler sexuellement découvre qu'enfait son clitoris se situe au fond de sa gorge, et non là où il devrait être. Enfin comme dit le docteur, c'est mieux que pas en avoir du tout. D'ailleurs cette première scène chez le docteur est complètement WTFesque, que ça en devient très drôle. Parce que le film nous réserve quand même des bons moments de marades, notamment grâce à ce Dr Young, ou à ce sacré Gilbert qui se déguise en cowboy et menace ses conquêtes avec un ptit pistolet, mais qui n'est pas crédible une seconde.


Reste les scènes de cul, c'est un porno quoi, mais bon, au bout de 20 minutes, ça devient quand même super redondant, malgré tout le talent de cette chère Linda. Scène de culs, accompagnés la plupart de temps par des bruitages sortit de nulle part.
Reste la bande-son, bien 70s, mais qui casse pas trop pattes à un canard. Dans tout les cas, ça n'a pas empêche Pitbull de sampler un des morceaux pour un de ces "tubes".


Putain, et là je me rend compte, que j'ai écrit une critique sur Deep Throat quoi. J'ai honte.

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le 11 juin 2014

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Bondmax

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