Optical Malady
Michael Mann affirme désormais clairement sa singularité, et par conséquent divise la critique de façon assez radicale. Les acquis à sa cause y décèlent la patte d’un auteur hors norme, se jouant du...
le 29 mai 2015
70 j'aime
42
Ne nous mentons pas, il y a des gros trous scénaristiques, que dis-je, des aberations dans la narration...
Vous voulez un film "valide" d'un point de vue informatique ?
Alors déjà, cela risque de faire un mauvais film de cinéma, et puis dans ce cas, allez voir des vidéos de programmation en C++ sur Youtube et laissez nous dans notre kiffance...
Et alors... détails et broutilles...
Ce film est (et c'est sa limite) pour les pour les amateurs de Michael Mann.
C'est du Mann-porn :
- Pas de discussions ou de tergiversations chez des personnages qui savent ce qu'ils doivent faire
- Pas de dialogues creux ou explicatifs de remplissage
- De l'image citadine nocturne numérique
- Des gestes anodins mis en valeur pour énoncer par l'image les sentiments entre les protagonistes
- Etc.
Les michaelmanniennes et les michalmanniens sauront de quoi je parle...
Les autres, qui se gaussent du film, se moquent de Michael, n'ont pas de coeur !!
Créée
le 23 janv. 2024
Critique lue 3 fois
D'autres avis sur Hacker
Michael Mann affirme désormais clairement sa singularité, et par conséquent divise la critique de façon assez radicale. Les acquis à sa cause y décèlent la patte d’un auteur hors norme, se jouant du...
le 29 mai 2015
70 j'aime
42
Se projetant dans un film d’action où tout se joue dans les mouvements, dans une réflexion théorique de la matérialité, dans un état de ramification de synapses cybernétiques inatteignables, Michael...
Par
le 19 mars 2015
59 j'aime
8
« La question est de savoir quelle forme accomplit ça, quelle forme de composition, quelle forme de lumière, quelle forme de musique accomplit ce que j’avais en tête ». Voilà comment Michael Mann,...
Par
le 6 avr. 2015
55 j'aime
29
Du même critique
Je cherche l'intérêt de ce film... C'est vulgaire pour être vulgaire, sans être drôle, amusant, satyrique, dénonciateur voire sans pousser la méchanceté dans des retranchements indécents... Il ne...
il y a 2 jours
... non pas que j'ai grandi en URSS, mais un film des années 80 dans la veine de ceux qui sont des marqueurs du cinéma américains de ces années : la photo, la musique "moroderienne", le contexte, la...
il y a 3 jours
C'est un "Dupieux" sympathique, qui passe comme une lettre à la poste. Si ce film était le seul de l'auteur avec le précédé narratif qu'il exploite, il serait très cool. Mais voilà, et en plus comme...
il y a 3 jours