Retour à la réalité !
Celles et ceux qui sont des fans du cinéma du tourneur en série, Quentin Dupieux, savent que le réalisateur et la mise en abyme... ben, ça fait un. Et le spectacle dans le spectacle (ici, le film...
Par
le 15 mai 2024
69 j'aime
C'est un "Dupieux" sympathique, qui passe comme une lettre à la poste. Si ce film était le seul de l'auteur avec le précédé narratif qu'il exploite, il serait très cool. Mais voilà, et en plus comme le Monsieur est productif et qu'on a à peine fini digérer Dali et autres films, cela commence à être lassant. Peut-être qu'avec 12/18 mois entre les films, l'effet lassitude serait moins prononcé. Mais j'ai passé un bon moment. Après, difficile de mettre une note plus haute, c'est un "Dupieux", donc la photo est plate, la mise en scène consiste juste à suivre 2 personnages qui marchent par un long travelling, la musique est anecdotique, etc. Mais on passe un bon moment, puis on oublie. Ah, et comme d'hab', il n'y a pas de fin, au sens résolution, clôture ou ouverture. C'est un "Dupieux".
Créée
le 19 mai 2024
Critique lue 43 fois
D'autres avis sur Le Deuxième Acte
Celles et ceux qui sont des fans du cinéma du tourneur en série, Quentin Dupieux, savent que le réalisateur et la mise en abyme... ben, ça fait un. Et le spectacle dans le spectacle (ici, le film...
Par
le 15 mai 2024
69 j'aime
Rohlala, le film qui te gueule dessus "il y a un bon gros boomer décomplexé à ma barre" à chaque séquence. D'abord, ce sont les personnes homosexuelles, bisexuelles, puis handicapées qui prennent,...
Par
le 14 mai 2024
47 j'aime
31
Pour un film d’ouverture du festival de Cannes, certains dialogues sont un peu aberrants. Blagues sur fond de metoo, homo/bisexualité, on pourrait penser que c’est une satyre, je ne pense pas. Bon...
Par
le 14 mai 2024
23 j'aime
2
Du même critique
Je cherche l'intérêt de ce film... C'est vulgaire pour être vulgaire, sans être drôle, amusant, satyrique, dénonciateur voire sans pousser la méchanceté dans des retranchements indécents... Il ne...
le 20 mai 2024
... non pas que j'ai grandi en URSS, mais un film des années 80 dans la veine de ceux qui sont des marqueurs du cinéma américains de ces années : la photo, la musique "moroderienne", le contexte, la...
le 19 mai 2024
C'est un "Dupieux" sympathique, qui passe comme une lettre à la poste. Si ce film était le seul de l'auteur avec le précédé narratif qu'il exploite, il serait très cool. Mais voilà, et en plus comme...
le 19 mai 2024