Hard Hunted par Francis San Marco

Il est impossible de parler de cinéma d'exploitation, sans évoquer ce monument que constitue l'intégralité des films de Andy Sidaris. La recette complète ? :

• Des mannequins playboy en string




• Des armes et des explosions




• Des grosses voitures




• De l'espionnage de merde
  (genre dans #Hard Hunted, y'a le millionnaire à la con sur son yacht qui possède un petit bouddha en jade, mais il se le fait voler par des malfrats. Dans le même temps, y'a l'agence de merde façon MI-6 qui mène une affaire d'espionnage. Les deux camps vont essayer de recupérer la statuette...! C'est chaud comment c'est une copie de #Octopussy avec les oeufs de Fabergé)

En tant normal, j'aurais considéré #Hard Hunted (et les autres) comme des nanars. Mais en fait non, car c'est pas drôle. Ca se prend même grave au sérieux, donc c'est pas vraiment un navet non plus...c'est un type de projet un peu bâtard

Personnellement, j'ai découvert cette collection car ils ont ressorti l'intégrale de 12 films du réalisateur. Pour qui, je ne sais pas...mais en gros pigeon je l'ai acheté pour écrire cette critique. Faudra que je regarde les 11 autres un jour !