Presque un huis clos, High-Rise se déroule majoritairement dans une tour de béton de près de cinquante étages.
Les riches vivant en haut, à la lumière, tandis que les pauvres évoluent au raz du sol, dans l’ombre.
Difficile de savoir si cette tour fait référence à l’urbanisation des années 70 ou si elle définie la société capitaliste et l’inévitable lutte des classes chère à Karl Marx et à d’autres avant lui.
On remarque d’ailleurs l’utilisation de plusieurs métaphores visuelles assez noires laissant penser que la deuxième hypothèse serait celle privilégiée par le réalisateur anglais…