A l'encontre de tous (pour l'instant), un film d'action coup de coeur d'une paradoxale fidélité !

Grand amateur de la saga de jeux vidéos Hitman, bien que j'en aie pas encore testé le dernier opus "Absolution", j'avais été le premier déçu par la première adaptation réalisé par Xavier Gens. Trahissant l'esprit du jeu, la personnalité même du héros et son scénario, rien ne sauvait cette adaptation à mes yeux. Lorsque j'ai appris qu'une seconde tentative était en oeuvre, mes espoirs furent par trop mêlés d'appréhension. La bande annonce de ce film semblaient confirmer mes soupçons, blocbuster d'action ne semblant pas du tout se préoccuper de la personnalité propre à l'agent 47. Avant même sa sortie français, j'avais entendu parler du retentissant échec commercial du film aux états-unis et les premières critiques presse allociné n'étaient pas simplement condescendantes comme souvent vis-à-vis de certains genres, elles démolissent littéralement le film. Certes seulement quatre critiques "presse" sur allociné à l'heure actuelle, mais malgré tout une moyenne rarement vu pour un blockbuster 1,5. Même les récents 4 Fantastistiques atteignent 1,9. Si je digresse tant, c'est pour bien montrer l'état d'esprit dans lequel j'allais voir le film. En tant qu'amateur des jeux vidéos subsistait bien entendu un petit espoir, je ne me faisais pour aucune illusion et était préparer à voir une catastrophe cinématographique.


Je m'engage donc avec cet état d'esprit dans la salle de cinéma, l'esprit déjà en alerte prêt à repérer toutes les sacrilèges de ce film. Une première scène In Media Res nous fait rentrer directement dans l'action et l'intrigue, et voilà notre assassin réaliser une première attaque à l'encontre d'un mystérieux syndicat semblant souhaiter retrouver le scientifique à l'origine du projet ayant permis la création du fameux Hitman. La scène d'action est prenante, mais je remarque l'utilisation d'un certain nombre de gadgets à la technologie de pointe. Jamais de souvenir, l'agent n'utilise ce genre de technologies digne d'un James Bond ou d'un Mission Impossible, cela va même à l'encontre de l'esprit du jeu dans lequel on incarne un tueur à gage si efficace, qu'il n'a nul besoin de recourir à ce genre d'artifice. Malgré tout la scène semble montrer une planification typique du héros, elle se termine par un massacre par l'agent 47, là encore comme je le prévoyais dans la bande-annonce, oublié totalement une part importante du tueur à gage censé être si discret qu'il fait souvent passer ses assassinats pour des accidents très variés.


Et pourtant, ET POURTANT, petit à petit, je me laisse prendre au jeu ! J'ai pris un plaisir fou, qui ne fit que s'accentuer tout au long du film au fur et à mesure que j'en oubliais totalement mes appréhensions initiales. Peu amateur des derniers grands films d'actions super-héroïque, depuis deux ou trois ans, je me retourne souvent sur les films d'actions de la dernière décennie du XXème siècle pendant laquelle fourmillaient de véritables héros "badass" et charismatiques. J'ai littéralement adoré la prestation de Rupert Friends. J'ai trouvé que sur ce plan, elle correspondait parfaitement au héros de la saga de jeu vidéo. Son regard bleu et glacial qui se durcit sensiblement et suffit à faire plier le mental d'un opposant, son sang froid éternel, sa silhouette même droite, virile tout en étant teintée d'un charisme découlant d'une sobriété tout en élégance ! Le tueur parfait, celui que n'incarnait absolument pas Timothy Oliphant, tout aussi humain. On perçoit par contre au-delà du statut de machine implacable l'existence d'une véritable volonté humaine. Je suis persuadé que certains trouveront la légère touche de sensibilité que l'on ressent mais qui ne s'exprime jamais du tueur incompatible avec la saga. J'en suis persuadé alors que c'est complètement ridicule. L'épisode 2 notamment nous montre clairement un personnage qui sans être mu par un flot d'émotions qu'il ne contrôle pas ou qui le font fléchir, n'en est pas moins à se poser des questions sur sa rédemption, sa place dans la société. D'où sa retraite dans une église au près d'un prêtre, entre l'épisode 1 et 2. Dans la précédente adaptation, sa sensibilité était en effet bien trop exacerbée, il était pris de pitié, on le voyait fléchir sous le coup des sentiments et devenir d'une certaine manière un héros traditionnel. Ce n'est pas le cas, ici. Si la romance trop clichée de la précédente adaptation venait s'opposer à l'identité du personnage, ici la relation qu'il entretient avec le personnage féminin principal n'est pas du tout aussi marquée par la sensiblerie. Il se révèle même impitoyable par moment et incarnerait davantage un mentor qu'un amoureux transi. Certes, une certaine ambiguïté existe, très subtile cependant, elle ne se révèle jamais explicite. Je me demande même si elle ne découle pas de l'envie naturel du spectateur de voir un peu plus de la chair d'Hannah Wayne, très crédible dans son rôle de femme forte mais perdue. J'avoue l'avoir trouvée terriblement séduisante dans cet opus ! Mais finalement cette ambiguïté nous permet surtout de voir l'existence d'une humanité derrière un humain en parfait contrôle de ses émotions. Cette même humanité qui motive le scénario du deuxième opus vidéoludique, puisque l'assassin ne reprend du service que pour retrouver son ami kidnappé. Certes, l'opus nous montre aussi son incapacité finale à nier sa propre nature mais elle montre bien que le personnage est donc plus complexe qu'un anti-héros totalement amoral, une machine à tuer. Et cette ambivalence du personnage est très bien retranscrite. Un humain donc avec des émotions en profondeur, ou du moins des sentiments, mais qui ne viennent jamais pourtant l'empêcher d'agir avec une pure rationalité dans le feu de l'action et qui restent donc totalement maîtrisés ! C'est cette caractéristique qui va forcer l'admiration du héros, renforcer son aspect badass, et qui réussit à exercer sur moi une véritable fascination devant le jeu de Rupert Friend.


La bande-annonce malheureusement permet facilement de deviner un retournement de situation du scénario. Cependant avec un peu de bonne volonté, on se laisse malgré tout prendre par un scénario, certes finalement assez simple, mais assez subtile pour nous présenter d'abord le personnage d'un point de vue très extérieur comme ennemi à craindre, tueur impitoyable en voie pour assassiner sans conscience une innocente. Rappelons que malgré son absence d'émotions apparente du héros, il semble suivre malgré tout un code dans les jeux puisque ces cibles ne sont jamais que des criminels. Certes les jeux nous laissent la possibilité de tuer au passage quelques innocents, tragiques victimes collatérales, mais on sait bien que l'agent 47 idéal du jeu vidéo est celui qui ne tue jamais que sa cible. Ici donc, une bonne partie du film nous présente donc le héros comme un chasseur traquant une proie innocente, nous permettant de craindre le personnage et de le rendre d'autant plus inquiétant. Bien entendu, il apparait par la suite comme un mentor auquel on s'attache mais qu'on admire d'autant plus qu'on l'a craint jusque-là ! J'ai beaucoup aimé dans cette écriture en deux parties, nous présentant d'abord froidement et extérieurement le héros puis de manière bien plus complice. Quelques éléments m'ont déranger cependant, l'assassin pendant sa tentative d'assassinat de l'héroïne se confronte à un agent la protégeant. Une course poursuite (à pied) commence et l'agent semble chercher avant tout à tuer la fille et met à terre à plusieurs reprises son protecteurs qui vient à chaque fois à nouveau le ralentir ! 47 se traine un véritable boulet au pied alors qu'il avance vers l'héroïne, il semble alors avoir le dessus assez facilement face à ce protecteur, une fois à terre pourquoi ne pas l'achever ? Je veux bien qu'une première fois, il ait pu considérer que face à un adverse si faible, c'était une perte de temps, mais à l'évidence, il revient à chaque fois le ralentir dans sa traque. Dès la deuxième fois, ou au moins la troisième, il aurait du tenter de le mettre définitivement hors-d'états de nuire plutôt que de continuer à avancer vers l'héroïne. Cette incohérence m'a un peu gêné je l'avoue. D'ailleurs au début du film, ce personnage ne semble absolument pas faire le poids face à l'assassin, plus tard pourtant il semble faire jeu égal avec lui, et parfois même le surpasser. Une étrange incohérence que je n'ai pas forcément perçu sur le moment mais qui m'a tarabusté après la séance et continue encore à me tracassé.


Si je n'ai pas forcément été attentif à cette incohérence durant le film, c'est que finalement la confrontation des deux personnages sont systématiquement l'occasion des scènes d'actions. Et j'avoue avoir adorer ces scènes d'actions, que j'ai trouvé extrêmement lisibles. Il y a un véritable côté Jason Bourne, dans cet agent 47, mais alors qu'on ressentait le premier pris dans l'action et répondant à des instincts purs, ici on ressent avec plaisir et admiration la maîtrise du personnage qui agit non pas par instinct mais toujours avec un esprit clair et froid qui ne se laisse absolument pas perturber par les événements et toujours concentré sur l'objectif qu'il s'est fixé depuis le début. Ces scènes d'actions nous montrent donc l'agent 47, pour le coup, comme une véritable machine à tuer. Loin de l'objectif générale de la saga, en effet, l'assassin ne cesse de se livrer à des massacres tout au long du film, le nombre de ses victimes semble se contenter systématiquement en dizaine. Si au début du film l'absence de discrétion et de subtilité du personnage m'a dérangé, je l'ai vite acceptée. Après le film, je me suis demandé pourquoi cette présentation du personnage avant tout comme une machine à tuer passa si facilement. Je me suis alors rendu compte qu'elle était assez logique à l'intérieur même du film et compatible avec la saga. En effet si le jeu nous invite surtout à être invisible qu'il est avant tout un tueur à gage remplissant divers contrats, bien entendu sa légende et sa réputation viennent en grande partie de son anonymat préservé, d'où ce besoin de rester discret pour plaire à ses employeurs et pour lui-même. Mais dans ce film, tous ses adversaires connaissent déjà son existence, il ne sert à rien de la cacher, d'autant plus que tous ses adversaires sont plus ou moins directement liés à sa création et connaissent même sa nature. Contrairement aux jeux vidéos construisant l'intrigue principale via les multiples missions a priori indépendantes, le film ici se centre explicitement à chaque instant sur son intrigue principale, sans détour. Et honnêtement, le format cinématographique pousse à cette construction, il aurait pu être intéressant de retrouver la structure narrative des jeux vidéos dans une série, mais celle-ci reste impossible à retranscrire dans le format bien trop court d'un film ! Mais au-delà de ça, le film de par son scénario prend le parti très clair de mettre en avant les caractéristiques physiques et intellectuelles du héros. Celles intellectuelles se révèlent moins par la planification de l'assassin que par sa capacité à improviser constamment en gardant une lucidité, une présence et une vivacité d'esprit lui permettant de maitriser chaque instant. Je sens là encore que cette vision du tueur à gage, comme surhumain, va faire hurler dans les chaumières. Prétendue trahison de l'esprit originel, là encore c'est oublier qu'outre la réalité scénaristique de la saga justifiant cet aspect du personnage, les missions ultimes de chaque opus, notamment "Rédemption" dans "Silent Assassin", et "Requiem" dans "Blood Money", mettent en scène avec brio de semblables massacres rappelant chaque fois cette caractéristique du héros.
Bien entendu, cela ne vient pas pour autant justifier tout dans ce film. Alors que ces massacres restent circonscrit à des lieux privés chaque fois dans les jeux vidéos, ici Hitman malencontreusement se permet de massacrer dans un métro ou en pleine rue. Le film n'est pas parfait, et quelques incohérences et fils blancs le parcourent.


Contrairement à la première adaptation qui me semblait trahir de bout en bout son matériau d'origine, celle-ci fait preuve d'une certaine fidélité qui a vraiment son effet sur moi, bien qu'elle préfère omettre des aspects essentielles de la série mais d'une manière relativement justifiée par le scénario, comme expliqué précédemment. Au-delà de l'incarnation du héros, on retrouvera une réalisation que certains trouveront peut-être liste ou artificielle, mais qui rappelle bien souvent le jeu. Loin de provoquer des effets de saturations exacerbés, semblable à Only God Forgives ou d'une manière différente à l'adaptation de Snyder du comics 300, les couleurs sont suffisamment marquées pour créer une netteté de l'image, qui rappelle l'efficacité de la patte artistique de la saga vidéo-ludique. Je suis persuadé que certains y trouveront un aspect trop lisse, ou regretteront le manque de réalisme qu'implique une telle réalisation. Ce ne serait pas tout à fait honnête selon moi, car ce serait finalement attendre de ce film qu'il ne soit pas un "Hitman". Si je dis que cela ne serait pas tout à fait honnête, c'est qu'en réalité le premier opus de la saga vidéo-ludique avait cette ambiance visuellement plus froide et pesante qui ne serait donc pas celle de ce film. Mais le premier opus posait certes les bases de la série, mais pâtissait justement de cette ambiance trop froide venant souligner les raideurs du gameplay et du level design. Si ce premier épisode avait définitivement lancer une direction forte et marquante de la saga, c'est véritablement le second opus qui définit finalement l'esprit de la saga ! Considérer donc que la réalisation trahit l'esprit de la saga reviendrait donc soit à méconnaître celle-ci soit à la réduire de manière malencontreuse à son premier opus.
(Petite digression)Si certains souhaitent voir film à l'ambiance et à l'incarnation du héros plus pesantes, à la vision plus pessimiste, au scénario et à la réalisation plus froids avec un héros rappelant énormément l'agent 47, je ne saurais trop conseiller un petit film à petit budget très méconnu, sorti malheureusement directement en DVD dans notre contrées : Interview with a Hitman. Bien entendu, si le personnage principal de ce film incarne bien des aspects de 47, oubliez cependant le scénario des jeux vidéos, et toute l'histoire de créations d'assassins.
De nombreux autres références à la série viendront toucher le coeur des amateurs, la fameux corde à piano, les déguisements en tout genre, les corps que l'on traîne... Ce film ne satisfera pas à coup sûr tous les amateurs de la série qui auraient souhaiter que le film mettent en avant davantage un film rappelant davantage l'expérience même du joueur qui se révèlent principalement dans la succession des missions. Si cela est totalement compréhensible et peut se justifier, je crois pourtant qu'il serait honnête de reconnaître de la part du réalisateur une volonté marquée et réussie de retranscrire l'imaginaire et le personnage de cette saga. Ce qui ne m'empêche pas moi-même d'espérer, une adaptation retranscrivant une expérience de la saga différente, suivant une perspective plus proche de celle du joueur mais qui devrait selon moi passer par le format d'une série. Je ne me fais cependant pas d'illusion à ce sujet.


Dernier point sur lequel, j'aimerais revenir rapidement même si j'en ai quelque peu parler, l'héroïne principale. Là encore, ce choix est assez audacieux et sera forcément critiqué. Personnage solitaire avant tout, si la série de jeux vidéo nous révèle une part d'étrange humanité de la part de 47, jamais nous ne le voyons a priori remplir ses mission avec des partenaires. D'ailleurs tous ceux ayant des capacités similaires au héros, notamment ceux provenant du même programme, semblent eux avant tout des machines à tuer dénuées de cette part d'humanité propre à l'agent 47. Ce personnage est donc une pure création du réalisateur qui en fera frémir plus d'un. Si je me suis laissé convaincre par celle-ci, c'est en grande partie à cause de l'interprétation très réussie de la comédienne qui reste étonnamment crédible dans ce rôle, si on accepte bien entendu d'accepter la part non-réaliste de l'univers d'Hitman. Pourtant, je dois avouer qu'un point m'a gêné vis-à-vis de celle-ci, c'est en partie vraie pour l'agent 47, mais bien plus mis en avant pour l'héroïne : une capacité de prédiction. Si en réalité, l'univers de Hitman nous présentent donc des humains surhumains, aux capacités extrêmes, si donc l'univers renonce à un certain réalisme, la fascination qu'exerce l'assassin tient malgré tout au fait qu'il n'est pas un super héros mais une version optimisée d'un homme, or ici les personnages de par leur sens accrus semblent pouvoir "voir" bien au-delà de leur champs de visions. Clairement cette capacité passe un cap, et pourrait presque se définir comme un super pouvoir. Par moment, une de ses visions, de mémoire, est même tellement éloignée de la scène où se trouve le personnage, qu'elle ressemble davantage à une prémonition qu'à une anticipation. Cette part fantastique ne semble pas pouvoir être justifiée, même de manière non crédible, par la fameuse "création de ses agents". L'armure sous-cutanée en titane ne m'a pas du tout convaincu non plus !!Pour le coup, je trouve qu'on sort du cadre du matériau d'origine. Mais ce que l'on pouvait le plus craindre d'un tel personnage a été évité, l'intégration clichée d'un personnage féminin, niais, satisfaisant la part de romance du public des blockbuster. Au contraire, nous avons un personnage qui réussirait presque à faire jeu égal avec le personnage principal et est loin de servir de boulet, de princesse à sauver. J'avoue qu'elle fut même un petit coup de coeur.


Le bilan de cette séance sera donc un avant tout celui d'une expérience extrêmement divertissante qui malgré quelques faiblesses scénaristiques (massacre public, un personnage d'abord faible face à 47 devenant d'un coup son égal sans raison, une capacité d'anticipation lorgnant vers un pouvoir de prémonition, une armure sous-cutanée en titane...! ), se révèle être un véritable film d'action sans temps morts, à l'action lisible, porté par une certaine fidélité au matériau d'origine mais surtout par des interprétations très convaincantes, d'abord de la part d'une Hanna Ware que je ne connaissais pas mais qui m'a définitivement marquée, mais surtout de la part de Rupert Friend qui m'a définitivement convaincu et a su retranscrire la vision que j'avais de l'agent 47, tout en élégance, d'un charisme magnétique, au regard à la fois glaçant et intrigant, bien loin du cliché habituel des héros d'action actuels mettant en avant leur belle gueule mais surtout une musculature imposante. Mon coup de coeur de l'été ! J'avais passé un bon moment devant Mission impossible Rogue Nation tout en gardant toujours une petite distance, avec Hitman : Agent 47, je me suis vraiment laissé aller à prendre du plaisir !


PS : Etant donné l'échec cuisant pour l'instant du film, je regrette sincèrement l'absence très probable de suite à ce film. Il en aurait vraiment mérité une...

Vyty
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le 26 août 2015

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Vy Ty

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