Critique de Il était une fois en Amérique : Version Intégrale par Gebe-VK
Dans cette brume de réminiscences et de rêves, le temps soudain se dilate puis s’annihile. Le chant du cygne de Leone, l'opium du cinéphile.
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le 11 avr. 2025
Dans cette brume de réminiscences et de rêves, le temps soudain se dilate puis s’annihile. Le chant du cygne de Leone, l'opium du cinéphile.
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le 11 avr. 2025
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Dans cette brume de réminiscences et de rêves, le temps soudain se dilate puis s’annihile. Le chant du cygne de Leone, l'opium du cinéphile.
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le 11 avr. 2025
À l'exception de quelques scènes, l'indéniable prouesse technique n'est qu'un écrin numérique clinquant d'un film mielleux et sans âme.
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le 12 avr. 2025
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Entre deux trilogies s'est ouvert une porte...et cet opulent nanar surgit, me faisant très vite fuir vers d'autres galaxies lointaines.
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le 12 avr. 2025
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C L I N T E A S T W O O D : O L D W E S T A C T I O N
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le 11 avr. 2025
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