le 5 mars 2015
Le désenchantement de l'utopie
A travers le regard ahuri d’un détective privé qui ne cesse de se triturer l’esprit par le spliff, Paul Thomas Anderson singe magnifiquement "Vice Caché" de Thomas Pynchon. Littéral et très bavard,...
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C'est ma première critique car j'ai découvert senscritique depuis peu... j'aurais pu en faire d'autre car ce n'est pas mon film préféré "de tous les temps"... mais à froid ( plusieurs mois ou années) je n'ai pas envie de parler de mes films fétiches, je n'en suis plus assez sûr pour défendre mon opinion. Mais là à chaud, c'est le premier qui me donne envi de le faire... cet acteur et ce film viennent à moi comme un François Damiens dans Dikkenek... ce film est parfait! Une mise en scène aux petits oignons... un scénario et un suspense aux poils... des images magnifiques... et surtout... surtout... je ne connaissais pas Joaquin Phoenix et dans ce film, il est juste...incroyablement touchant... un journaliste (ou détective privé pour le coup) comme on aimerait en voir plus souvent! Un Spyder Jerusalem (cf: Transmetropolitan) sans le punk et l'auto-destruction mais assez emmerdeur pour faire chier son monde et obtenir la vérité. Et comme je l'appelais dans le titre de cette chronique... un soupe au lait à la The Duc dans The Big Levowshi... Personnage non guerrier mais qui ne supporte pas de trahir la vérité quoi qu'il arrive et d'une anti-violence mémorable!
Tellement bon que je vais m'empresser d'aller voir Her puis de la même combinaison (Le réalisateur Paul Thomas Anderson et l'acteur Joaquin Phoenix) The Master qui est avec en prime l'incroyable Philip Seymour Hoffman qui fait un excellent autre Duc dans Good Morning England!
Un dix cœur sans le moindre doute!
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Créée
le 29 déc. 2015
Critique lue 314 fois
le 5 mars 2015
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le 5 mars 2015
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