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Mankind of tragic
Intolérance ne peut pas effacer les stigmates de Naissance d’une nation, mais il permet une ébauche d’apaisement, une certaine forme de réconciliation. Alors qu’il avait tout misé sur l’Histoire...
le 10 oct. 2017
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Intolérance par Mighty-Forest
A travers quatre histoires, D.W. Griffith revient sur l'intolérance à travers les ages.
Astucieusement montées en parallèle, les différentes parties du film reprennent des événements historiques ou bibliques célèbres tels que la chute de Babylon, la vie du Christ ou encore le massacre de la Saint-Barthélemy. On suit également une histoire, quant à elle fictive, se déroulant à l'époque contemporaine du film et nous présentant le déclin d'une ville ouvrière à cause d'un groupe cherchant à faire revenir la morale en ville et ne se rendant pas compte que leurs actions rendent la vie difficile à tout le monde.
Grande fresque de 3h, Intolérance nous présente des histoires poignantes et dramatiques, se répondant et se renvoyant sans cesse la balle grâce au montage, et nous proposera également du grand spectacle bien épique et bien bigger-than-life comme il faut, typique du cinéma muet, avec la chute de Babylon, grande bataille aux décors impressionnants et dans lesquels des milliers de figurants se sont véritablement mis sur la tronche.
C'était bien !
Astucieusement montées en parallèle, les différentes parties du film reprennent des événements historiques ou bibliques célèbres tels que la chute de Babylon, la vie du Christ ou encore le massacre de la Saint-Barthélemy. On suit également une histoire, quant à elle fictive, se déroulant à l'époque contemporaine du film et nous présentant le déclin d'une ville ouvrière à cause d'un groupe cherchant à faire revenir la morale en ville et ne se rendant pas compte que leurs actions rendent la vie difficile à tout le monde.
Grande fresque de 3h, Intolérance nous présente des histoires poignantes et dramatiques, se répondant et se renvoyant sans cesse la balle grâce au montage, et nous proposera également du grand spectacle bien épique et bien bigger-than-life comme il faut, typique du cinéma muet, avec la chute de Babylon, grande bataille aux décors impressionnants et dans lesquels des milliers de figurants se sont véritablement mis sur la tronche.
C'était bien !
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le 2 août 2011
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