Alors c'est l'histoire d'un junky...
Tout est dit dans le titre !
C'est la semaine des déceptions cinématographiques, il faut croire.
Le nouveau Bourne est très différent de la trilogie passé, et ce n'est malheureusement pas un bon point. Les scènes sont dépourvues de tension, l'action est dénuée d'enjeu... Aucun suspens relevé, rien de rien, nada (excepté peut être la scène du massacre dans le labo).
On passe plus de deux heures à mater un junky en manque de petites pilules vertes et bleues, qui court et qui court et qui court encore (au début seul, et puis après avec Rachel Weisz) pour ... ben, on sait pas trop en fait. Il est en manque de drogues, voila.
Ah si je me rappelle maintenant ! Les grands manitous (représentés par Ed Norton enfermé dans une salle pleine d'écrans de contrôle... Mon pauvre vieux, je te plains) ont décidé de se débarrasser de cette section d'agents tueurs. Donc au début, le junky court derrière ses drogues, et ensuite, il a d'autres agents qui lui courent après (N°3, si tu m'entends...).
Mais bon, faut pas déconner, une injection virale détoxifiante et une course-poursuite en moto plus tard, tout va bien, le film... se termine, sur un bateau en bikini avec Moby pour les crédits.
Je parie que je vais trouver le second opus de cette nouvelle trilogie meilleure que le 1er ! En tous cas je l'espère ... (après changement de réalisateur et retour de Matt Damon ?)