« Quand on est fille de rien, on est prête à tout. »
Pour cela il faut posséder les bonnes cartes, du moins celles de son temps en les manipulant toujours à son avantage.
Ne pas hésiter, si l’on désire s’extraire d’un environnement sans espoir à se réinventer sans aucun état d’âme.
Effectuer les bonnes lectures du moins celles que l’on considère comme étant synonymes d’un ailleurs.
Être disponible et sans tabous, bouche pleine et cuisse légère, dans un contexte ou il faut bien souvent s’offrir au tout venant de manière soumise et détachée.
Le tout est de se diriger lentement mais surement vers la lumière en joignant l’utile à l’agréable.
Une fois remarquée ne pas hésiter par une fantaisie constante à bousculer par son inconvenance un environnement pétrifié par ses contraintes, sans âme autre que celle de servir, de se plaindre ou de comploter.
Tout en régénérant en parallèle le facies d’un roi ventripotent et sans divertissement, toujours aux portes de la mélancolie, fossilisé par les lourdeurs et le protocole d’un vaisseau ne fonctionnant que par un appareillage complaisant et automatisé.
Un contact dans un premier temps plus obligeant qu’investi menant au fil de leurs rencontres deux esprits malicieux vers les délices d’une même fréquence.
Loin d’un mensonge bien fait ayant l’aspect d’une déclaration d’amour.