Jeremiah Johnson se présente d'abord comme le récit d'une lutte pour la vie dans une nature hostile. Au fil de ses rencontres et du temps qui passe, le trappeur solitaire semble trouver sa place dans ce monde majestueux et sauvage. Mais en brisant une des règles de bonne entente qui le régit de manière tacite, il se condamne à entrer dans un cycle de violence. A travers cette histoire simple, Pollack critique en filigrane tout un pan de la culture hippie, du retour idéaliste à la nature au rejet d'une société trop normée, affirmant d'une manière désabusée mais très belle un certain humanisme inattendu.
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le 29 mars 2011

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