Ce film rappelle furieusement "On achève bien les chevaux" ; on est au plus près des personnages, toutes plus attachantes les unes que les autres, héroïnes d'un univers misérable dont un animateur de télé essaie de tirer parti.

Evitant le piège du tire larme, la réalisatrice arrive (au prix quand même d'une construction un peu académique) à nous faire ressentir le quotidien de ces femmes géorgiennes qui souvent luttent pour leur survie.
Quelques scènes sont des grands moments de cinéma, notamment l'image finale qu'il serait évidemment peu judicieux de dévoiler ici et qui résume le film à elle toute seule.
bracket
7
Écrit par

Créée

le 23 août 2013

Critique lue 296 fois

bracket

Écrit par

Critique lue 296 fois

D'autres avis sur Keep Smiling

Keep Smiling
Sabri_Collignon
8

Critique de Keep Smiling par Jack L'Eventreur

L'histoire d'un jeu télévisé en Géorgie qui permettra à l'une des participantes de prendre son envol financièrement et de démarrer une nouvelle vie.Ou comment,sous la forme d'une satire au vitriol de...

le 24 janv. 2014

2 j'aime

Keep Smiling
Flip_per
2

La queue du Mickey

Impossible de dépasser le premier quart d'heure ! Les vannes sont d'un lourdingue ! Sans parler de la caméra épaule qui m'a achevé ! Et le coup du pactole comme ressort dramatique, ça ça...ça fait...

le 13 août 2023

Keep Smiling
bracket
7

Et on achève bien les mamans...

Ce film rappelle furieusement "On achève bien les chevaux" ; on est au plus près des personnages, toutes plus attachantes les unes que les autres, héroïnes d'un univers misérable dont un animateur de...

le 23 août 2013

Du même critique

Dans la maison
bracket
8

Critique de Dans la maison par bracket

Rien n'est laissé au hasard. Cette maison devient la vôtre, spectateur. Vous êtes un brin mal à l'aise de ne plus vouloir en sortir, un peu effrayé sans doute que quelqu'un vous tape sur l'épaule en...

le 27 oct. 2012

3 j'aime

L'urgence et la patience
bracket
8

Critique de L'urgence et la patience par bracket

Étonnant premier essai d'un romancier qui réussit un pari compliqué : condenser en moins de 100 pages la schizophrénie de l'écrivain face à la feuille blanche, entre urgence et patience. Toussaint...

le 2 mai 2012

3 j'aime

Au revoir là-haut
bracket
9

Bonjour Ici-bas

Magistral, magnifique, superbe, il faudrait être Boris Vian ou Raymond Queneau pour inventer les qualifatifs qui siéraient à cette oeuvre. Je viens de me souvenir avoir lu un polar du même auteur,...

le 11 févr. 2014

2 j'aime