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Final cut.
A la sortie de la première partie du diptyque "Kill Bill", beaucoup ont reproché une certaine superficialité, un manque palpable d'émotion derrière le défouloir jouissif qu'offrait Tarantino. Pas...
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le 14 nov. 2013
67 j'aime
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De mon point de vue, il y a 2 formes d’artiste.
- Celui qui a chacune de ses créations va nous surprendre quitte à perdre ses premiers fans, à en gagner d’autres, à disparaître de la circulation, à réapparaître quelques années plus tard…
- Celui qui va garder la même recette tout le long de sa carrière, conforté par ses premiers succès, puis une fan base très solide qui n’attend rien d’autre que la même chose à chaque fois.
Personnellement je préfère le premier genre.
Avec réservoir Dogs Tarantino m’avait surpris et scotché malgré le manque de moyen du film.
Pulp fiction est son chef d’œuvre confirmé par Jackie Brown peut être son seul film différent.
À partir de Kill Bill, il va nous resservir tout le temps la même recette, du cinéma à l’esthétisme répétitif, aux chorégraphies sans fin, un cinéma de cinéphiles pour lequel je n’ai malheureusement pas la culture (je le regrette), avec des scénarios pas très épais (kill bill) ou inexistant (once up a Time).
J’ai vu tous ses films.
Je viens de visionner pour la seconde fois les 2 kill bill. Quel ennui. Je me tord sur mon canapé, je regarde ma montre toute les 2 minutes, je baille…
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le 25 mars 2024
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