Un prêtre a deux maîtresse et rompt avec elles pour redevenir un homme de dieu : il est alors assassiné et un enfant est le témoin. S'ensuit un film qui ne sait pas ce qu'il veut , errant entre le film gothique, le giallo, la nunexploitation, empruntant à Gaston Leoux, pour finir sur une révélation convenue.

C'est l'unique film de son réalisateur et on comprend : c'était un scénariste, et là il est perdu. Il ne sait pas manier sa caméra et se donner un style. A part cette scène de flagellation dépoitraillée de nonnes qui expient leurs désirs collectifs du prêtre, et qui à elle seule vaut le détour, le film se suit mais on s'y ennuie un peu....

MetalPIg
4
Écrit par

Créée

le 8 févr. 2024

Critique lue 14 fois

2 j'aime

MetalPIg

Écrit par

Critique lue 14 fois

2

D'autres avis sur L'arma, l'ora, il movente

L'arma, l'ora, il movente
MetalPIg
4

Prêtre fornicateur

Un prêtre a deux maîtresse et rompt avec elles pour redevenir un homme de dieu : il est alors assassiné et un enfant est le témoin. S'ensuit un film qui ne sait pas ce qu'il veut , errant entre le...

le 8 févr. 2024

2 j'aime

Du même critique

Il marchait la nuit
MetalPIg
6

Un film sponsorisé par le syndicat Alliance

A sa charge, ce film suinte bon le manichéisme primal, avec ses policiers taillés dans le marbre d'une justice irréprochable, et son méchant retors, sournois, mais dont on n'explique rien, ce qui est...

le 25 janv. 2024

3 j'aime

1

Virus cannibale
MetalPIg
8

Mattei à son sommet (Note Nanarde)

Ah Bruno Mattei ! On s'ennuie jamais avec lui : il reprompe tout pour un budget minimal. La musique de Zombie des Goblins, les stocks-shots animaliers pour grossir la pellicule et arriver péniblement...

le 21 déc. 2023

3 j'aime