1
une exécrable adaptation
On ne compte plus les (libres) adaptations du roman d’Edgar Allan Poe, entre L'Emmurée vivante (1977) & Les Emmurés (2009), c’est au tour de Gérard Kikoïne de s’atteler à la tâche en nous offrant...
Par
le 16 sept. 2011
une exécrable adaptation
On ne compte plus les (libres) adaptations du roman d’Edgar Allan Poe, entre L'Emmurée vivante (1977) & Les Emmurés (2009), c’est au tour de Gérard Kikoïne de s’atteler à la tâche en nous offrant une piètre Série B intitulée L'Emmuré vivant (1990). Le plus surprenant, c’est de constater à quel point la distribution fut soignée, puisque l’on y retrouve notamment Robert Vaughn, Donald Pleasence & John Carradine (le père de David Carradine, qui apparaît pour la dernière fois au cinéma puisqu’il est décédé en 1988). Au final, on se retrouve face à une exécrable adaptation, on préférera amplement garder en mémoire celle de Lucio Fulci.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
1
Écrit par
Créée
le 16 sept. 2011
Critique lue 1K fois
D'autres avis sur L'Emmuré vivant
Du même critique
8
30ans de tournage devant lesquels on hallucine bouche-bée devant le résultat.
Second long métrage pour le magicien des effets-spéciaux, après avoir apposé sa patte et sa légende sur bon nombre de films culte ou qui ont marqués toute une génération (La guerre des étoiles -...
Par
le 22 juin 2022
40 j'aime
2
Armez vous de patience, c'est ce que vous avez de mieux à faire.
Premier long-métrage pour l'équipe des Monty Python où ils réalisent avec Monty Python, sacré Graal (1975) une comédie lourde, exaspérante et extrêmement vide. Certains gags sont beaucoup trop...
Par
le 5 mai 2011
28 j'aime
18
4
Il ne suffit pas d’avoir un bel enrobage pour pleinement convaincre...
Suite à un typhon, le robot d’assistance Roz (alias ROZZUM 7134), fait naufrage sur une île inhabitée. Dans un environnement hostile et qu’il ne comprend pas, il va devoir s’adapter pour...
Par
le 14 oct. 2024
23 j'aime
7
