Les enfants apprennent de bonne heure le parti qu'ils peuvent tirer de leur bonne bouille (quand ils en ont une -qu'ils en profitent, car ça ne dure pas toujours-) en minaudant, parfois jusqu'à un âge si avancé qu'ils finissent par devenir des acteurs professionnels...
On retrouve bien sûr (et heureusement) dans ce film la façon qu'a son réalisateur de prendre au sérieux les rêves des bambins ; mais pas une identité musicale aussi forte que celle du "Fabuleux Destin" hélas, alors qu'il y avait sans doute quelque chose à tenter de se côté là ; si on en croit les disques d'un Robert Crumb par exemple (bien que l'univers de l'auteur de Fritz the Cat soit bien plus provocateur).