assez bon film d'espionnage classique, par le réal du Troisième Homme, dans un Berlin déjà découpé mais sans mur. La première demi-heure est vraiment bien, ensuite c'est plus classique.
FrankyFockers
5
Écrit par

Créée

le 12 juil. 2013

Critique lue 111 fois

FrankyFockers

Écrit par

Critique lue 111 fois

D'autres avis sur L'Homme de Berlin

L'Homme de Berlin
Boubakar
7

Droit dans le mur.

Tourné après Huit heures de sursis et Le troisième homme, L'homme de Berlin flirte avec l'espionnage par le regard de la jeune Claire Bloom. Oie blanche débarquée de son Angleterre natale pour rendre...

le 2 juin 2019

8 j'aime

L'Homme de Berlin
Cinephile-doux
7

Un peu de chaleur dans la guerre froide

Bien moins connu que Le troisième homme, tourné quatre ans plus tôt, L'homme de Berlin n'est pas loin de le valoir. Là encore, Carol Reed (cinéaste sous-évalué, voir Train de nuit pour Munich ou Huit...

le 6 févr. 2017

8 j'aime

2

L'Homme de Berlin
wallace
6

L'amour, le mur, la mort...

"C'est une richesse de ne jamais devoir se confronter à la vie". Ivo Kern (James Mason) n'a pas eu la chance de la belle Susanne (Claire Bloom), jeune et fraîche anglaise tout juste descendue de...

le 27 janv. 2013

6 j'aime

Du même critique

Forever Changes
FrankyFockers
10

Critique de Forever Changes par FrankyFockers

La carrière de Love n'aura duré que de 1965 à 1970. Un bien court moment, mais qui marquera à jamais l'histoire de la musique rock et qui fera du groupe le plus grand représentant du psychédélisme...

le 24 avr. 2012

67 j'aime

10

Body Double
FrankyFockers
10

Critique de Body Double par FrankyFockers

Pourquoi ce film est-il si important dans l'histoire du cinéma moderne ? Voici une question qui mérite d'être analysée, comme il convient aussi de s'arrêter quelque peu sur le cas Brian de Palma, le...

le 23 avr. 2012

59 j'aime

4

Le Charme discret de la bourgeoisie
FrankyFockers
10

Critique de Le Charme discret de la bourgeoisie par FrankyFockers

Sorti sur les écrans en 1972, Le Charme discret de la bourgeoisie se situe en plein milieu de la période française de Bunuel, sa dernière et aussi l'une de ses plus intéressantes. L'âge n'a jamais...

le 23 janv. 2012

44 j'aime

1