Critiques de L'Idiot

Sergent_Pepper
7

Des visages défigurent.

Lorsqu’on voit l’importance des thèmes de la culpabilité, du choix et des frontières poreuses entre le bien et le mal qui occupent les films précédents de Kurosawa, il est peu surprenant de le voir...

le 13 janv. 2015

35 j'aime

4

Kobayashhi
7

"Un homme qui n'est jamais idiot n'est pas tout à fait humain"

Celui ci, même avant que je le visionne avait une saveur particulière pour moi, c'était l'un des Kuro que j'avais le plus hâte de découvrir. Pour la simple et bonne raison qu'il s'agit de...

le 20 août 2013

25 j'aime

Mehdi-Ouassou
10

Une leçon d'une simplicité vertueuse

Lorsque j’ai regardé la liste de mes DVD non honorés, j’ai trouvé dans un coffret de Kurosawa un titre qui ne m’a pas laissé insensible. Ah tiens, me suis-je dit, un film qui est à même de...

le 3 avr. 2013

14 j'aime

1

Brad-Pitre
4

Idiolecte idiopathique

J'aime Dostoïevski. J'aime Kurosawa. Seulement, les deux ensemble ne fonctionnent pas. Dans le même genre d'idée : j'aime la cuisine fusion, mais ce qui peut sembler parfait sur le papier est parfois...

le 17 mai 2018

7 j'aime

Arnaud_Mercadie
6

Le ying et le yang

Un drame de 3h00 (qui devait faire 4h30), une adaptation d'un roman de Dostoievski, et un montage charcuté, faites le calcul, le résultat peut être sérieusement ennuyeux. Cependant, malgré un...

Par

le 26 avr. 2017

3 j'aime

BenjaminTherre
7

"Annonce-moi"

Nous délaissons les quartiers oppressants de Tokyo et leur canicule estivale pour nous plonger dans un Japon sous la neige en proie au blizzard des contrées d'Hokkaido. Le décor est planté ...

le 11 juin 2019

1 j'aime

arthurdegz
5

Un Idiot qui manque de substance

Suite à la lecture de L'Idiot j'ai découvert que Kurosawa l'avait adapté au cinéma. Kurosawa qui adapte Dostoïevski ça sonne comme le fantasme ultime d'un prof de culture générale, mais j'aime bien...

le 4 mai 2022

DiogèneEtsonchien
5

Un Kurosawa décevant...

Japon, 1951… Quand Orson en 48 ou 52 faisait du Shakespeare, Akira se mettait à Dostoïevski. En résulte un genre de Dallas sauce russo-japonaise filandreux et peu goûtu. Bien sûr on retrouve la patte...

le 26 avr. 2020

Torrebenn
6

Critique de par Torrebenn

Dans un Japon atypique, car enneigé, Kurosawa tisse une belle fresque d'un Idiot habilement généré par cette foutue guerre, la Guerre.

le 14 janv. 2017