12 minutes d'une grande puissance émotionnelle, voilà comment résumer Tsumiki No Ie qui avec des réflexions sur la famille, la vie et la vieillesse de manière très douce emmène son public dans les profondeurs de la vie d'un homme.
Sa fin est si poignante par son côté doux amer (telle la vie) qu'il s'impose comme un excellent court-métrage.
Alors s'il vous plaît, épargnez 12 minutes et profitez de cette aventure unique !
Je voudrais parler de ma scène préférée où une fois qu'il descend au premier étage de sa maison et qu'en sortant il se rend compte que beaucoup de maisons ne sont composés que d'une, deux voire trois blocs ce qui signifie que leur famille n'a pas survécu ... en se remémorant le début du film qui était triste et solitaire, où l'on voit ce vieil homme regardant la télé alors que des cadres remplis de souvenirs ornent ses murs, on se rend compte qu'a la place d'être attristé de ne plus pouvoir revivre ses moments, il faut plutôt en être reconnaissant d'avoir justement pu les vivre avec les personnes qu'on aime car beaucoup ne sont pas allé aussi loin !
L'eau représente le temps qui s'écoule et il y a des familles qui ne vont pas pouvoir prolonger leurs arbres généalogiques !