Cover La Marque du tueur

La Marque du tueur

Koroshi no rakuin

1967

776

1.2K

83

7.3

Film de Seijun Suzuki · 1 h 38 min · 15 juin 1967 (Japon)

Genres : Action, Gangster, Drame

Casting (acteurs principaux) :

Jô Shishido, Kôji Nanbara, Isao Tamagawa, Anne Mari, Mariko Ogawa, Hiroshi Minami, Iwae Arai, Hiroshi Chô

Pays d'origine :

Japon

Bande originale :

Branded to Kill
Casting complet et fiche technique

Goro Hanada est le tueur n°3 dans la hiérarchie des malfaiteurs japonais. Misako Nakajo lui donne un contrat, qu'il va rater à cause d'un papillon.

Fritz_the_Cat

Seijun Suzuki vient de nous quitter à l'âge de 93 ans. Je me fais une joie d'avoir encore plein de ses films à découvrir. Bon voyage, patron...

il y a 6 ans

5 j'aime

7

LongJaneSilver

Revu hier, ce film de yakuza si "nouvelle vague", à la mise en scène elliptique oscillant entre organique et symbolique. Toujours aussi fascinant.

il y a 7 ans

1 j'aime

1

AdamYauch

AdamYauch

Normal l'écran qui devient complètement rouge ?

il y a plus d’un an

Chaiev
8

Critique positive la plus appréciée

Critique de par Chaiev

Plusieurs éléments contribuent à faire du film un objet abstrait, image mentale d'un monde irréel, archétype structurel et structuré d'un genre codé : le film de yakuza. Pour une fois, Suzuki, le...

il y a 12 ans

31 j'aime

9

magyalmar
4

Critique négative la plus appréciée

Boire ou occire, il faut choisir

Aïe, ouille, aïe. Non mais quel bordel. Même si on voit se dessiner très lentement l'idée directrice du film, qui explore l'esprit torturé d'un tueur professionnel, "La marque du tueur" reste...

il y a 5 ans

3 j'aime

drélium
8

Critique de par drélium

Gigantesque expérience Suzukienne tout en beauté et en décalage, noyau du polar moderne, porté par un esthétisme à la croisée du minimalisme, du surréalisme, de la folie japonaise et d'une...

il y a 12 ans

26 j'aime

7

IllitchD
9

Critique de par IllitchD

Seijun Suzuki est une institution cinématographique à lui tout seul. Un cinéaste qui a fait ses classes dans les célèbres Studios de la Nikkatsu, lesquels devaient quelques années plus tard le...

il y a 10 ans

10 j'aime

BaNDiNi
9

Critique de par BaNDiNi

Un film de yakusa qui méprise et se moque des codes du genre et qui a valu à son réalisateur, Seijun Suzuki, de se faire évincer du studio Nikkatsu... L'étrange Joe Shishido parodie une sorte de...

il y a 12 ans

10 j'aime

OrangeApple
9

Le serpent dans le sein

Faut quand même que je dise, en guise de préambule, que les serpents dans les seins, ceux qui mordent la main qui les nourrit, artistes ou pas, ça me fait craquer. Et lorsqu’en plus, artistes ils le...

il y a 6 ans

5 j'aime

10