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Dead girl walking.
Peu convaincus par le volet précédent, les producteurs remplacent Shunya Ito par Yasuharu Hasebe pour cette quatrième aventure qui ne diffère guère du précédent, tout en restant logique dans le...
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le 25 juil. 2013
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Dead girl walking.
Peu convaincus par le volet précédent, les producteurs remplacent Shunya Ito par Yasuharu Hasebe pour cette quatrième aventure qui ne diffère guère du précédent, tout en restant logique dans le déroulement de la saga, le personnage de Sasori (Meiko Kaji pour la dernière fois), rencontrant enfin un personnage masculin relativement positif, sorte d'alter-ego, autre figure contestataire brisée par le système.
Une approche intéressante dans ses premiers instants mais qui ne suffit pas à rendre palpitant un film qui ne décolle jamais vraiment, comme embourbé dans son propre concept, reprenant pour la énième fois les figures imposées dans sa dernière bobine, prévisible au possible.
Si Yasuharu Hasebe fait preuve d'une certaine efficacité, on ne peut que regretter les expérimentations de Shunya Ito, son style baroque et théâtral faisant cruellement défaut ici. Un quatrième opus décevant en forme d'adieu au personnage de Nami / Sasori pour Meiko Kaji, qui sera repris l'année suivante par une autre comédienne.
Une approche intéressante dans ses premiers instants mais qui ne suffit pas à rendre palpitant un film qui ne décolle jamais vraiment, comme embourbé dans son propre concept, reprenant pour la énième fois les figures imposées dans sa dernière bobine, prévisible au possible.
Si Yasuharu Hasebe fait preuve d'une certaine efficacité, on ne peut que regretter les expérimentations de Shunya Ito, son style baroque et théâtral faisant cruellement défaut ici. Un quatrième opus décevant en forme d'adieu au personnage de Nami / Sasori pour Meiko Kaji, qui sera repris l'année suivante par une autre comédienne.
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Gand-Alf and Emma Peel's Excellent Bluraythèque., A manipuler avec précaution., De la suite dans les idées., 2013: année cinématographique. et Des bulles à nos écrans.
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le 25 juil. 2013
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