le 13 mars 2011
Un diamant noir
James Gray est un auteur rare. Par son talent et son exigence, mais aussi concrètement par les délais entre ses films (cinq ans entre Little Odessa et The Yards, sept ans entre ce dernier et We own...
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Dès la première minute, on entre dans le film comme la main de Joaquin Phenix dans la culotte d'Eva Mendes : avec une envie qui ne s'estompera que malgré elle au générique final. James Gray, sans révolutionner le genre du film noir, nous prend par la main et nous stresse, nous fait sourire, nous captive d'images tantôt léchées, tantôt brutes de décoffrage. Sans prendre beaucoup de temps pour nous faire découvrir les personnages, il réalise un tour de force en les rendant intéressants dès les premières minutes. Un polar à la fois sobre et stylé, dur, une tragédie familiale portée par une pléiade d'acteurs convaincants avec un Joaquin Phenix littéralement plongé dans son personnage tiraillé entre son futur et ses racines. Bref, un film qui, sans vraiment nous surprendre, nous emmène d'un point A à un point B avec panache et virtuosité. Simple et efficace.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de 2007, Les meilleurs films avec Mark Wahlberg et Les meilleurs films avec Joaquin Phoenix
Créée
le 20 févr. 2017
Critique lue 235 fois
le 13 mars 2011
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