Boule rageante
On ne va pas se mentir, j'ai honte du titre. Certes, c'est une référence qui prend tout son sens ici, mais qu'est-ce que c'est moche et indélicat. Pire encore, les internautes qui commentent leurs...
Par
le 14 août 2015
40 j'aime
5
Jake Gyllenhaal est convaincant dans ce film techniquement magnifique mais qui n'invente pas grand chose par rapport à ce qui a déjà été fait dans le genre film de sport - drame familial. Le scénario évite de peu la surenchère mélodramatique. Ce spectacle est assez plaisant à regarder, même si les ficelles du scénario sont un peu épaisses et que l'issue est tracée au gros trait.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les films les mieux notés de 2015
Créée
le 4 janv. 2016
Critique lue 167 fois
D'autres avis sur La Rage au ventre
On ne va pas se mentir, j'ai honte du titre. Certes, c'est une référence qui prend tout son sens ici, mais qu'est-ce que c'est moche et indélicat. Pire encore, les internautes qui commentent leurs...
Par
le 14 août 2015
40 j'aime
5
L'éclectique Antoine Fuqua vient signer son nouveau film, et pour l'occasion il se met au service d'un scénario de Kurt Sutter, créateur de la série Sons of Anarchy et scénariste majeur de la série...
Par
le 25 juil. 2015
38 j'aime
3
Ah, un nouveau film d'Antoine Fuqua est toujours un plaisir à découvrir ! On ne sait en effet jamais si le bougre va nous pondre le prochain Training Day ou une série Z sans âme style Equalizer. Si...
Par
le 22 juil. 2015
38 j'aime
3
Du même critique
J'ai un souvenir particulier par rapport à la sortie de ce film en 1974. Non pas de l'avoir vu car j'avais 8 ans à ce moment-là et le film était interdit aux moins de 16 ans mais je me rappelle...
le 14 mai 2015
8 j'aime
3
Dans sa forme, l'oeuvre est assez sobre, avec des allures de téléfilm. Dans son fond, il s'agit d'une histoire bouleversante, tirée de faits réels. Difficile d'en dire plus sans spoiler mais j'ai...
le 7 août 2018
6 j'aime
2
Les thèmes de la nouvelle d'Edgar Allan Poe à la base du scénario de ce film sont principalement la mort, la déliquescence, la fatalité et la folie, la maison Usher étant une métaphore des cerveaux...
le 19 avr. 2016
6 j'aime