Oubliez les blockbusters à près de 250 millions de dollars de Sam Raimi , les films du Marvel Comics Universe , les new génération et les Amazing, il est temps de revenir aux sources du mythe de l'homme araignée à l'écran, car bien longtemps avant les versions de Sam Raimi et autres il existait la version cheap du super héros au collant bleu. Car c'est bien dans les années 70 que pour la première fois l'on a pu voir les exploits de Spider-Man sur un grand écran avec notamment le cultikitchissime Spider-Man strikes back (comme l'empire mais avec Spider-Man quoi ! ) plus connu chez nous sous le titre de La riposte de l'homme araignée . Bon ! en fait ce n'est pas vraiment un film puisque c'est le second volet d'une trilogie de téléfilm qui a eu droit aux honneurs du grand écran en France, pour être plus précis encore ce sont deux épisodes de la série télé qui ont copuler honteusement le temps de donner lieu à un long métrage d'une durée règlementaire suffisante afin de devenir un telefilm......et finalement un film !


D'ailleurs inutile de chercher des noms prestigieux au générique de ce Spider-Man strikes back , tout ce beau petit monde n'ayant œuvré quasiment que pour le petit écran. Le réalisateur américain Ron Satlof ,malgré un nom de gâteau russe, est une sorte de mercenaire de la télévision qui a réalisé des épisodes (enfin souvent un épisode) de séries tels que Magnum, Zorro, Sheriff fais moi peur, Perry Mason , Riptide, Rick Hunter, L'agence tout risques, L'homme qui tombe à pic, Hawaï police d'état ou Drôles de dames. Bon d'accord sur un CV ça le fait moins que réalisateur de Evil Dead mais c'est déjà moins ridicule que réalisateur de Catwoman. Coté casting c'est le même topo avec tout un tas de gens hyper super pas beaucoup trop connus comme Robert F Simmon, Chip Fields, Michael Pataki , Joanna Cameron ou Sidney Klute ;des noms peu célèbres certes mais quelques visage bien familiers. C'est typiquement ce genre de comédiens dont on se dit ,"Ah putain merde !! je l'ai déjà vu quelque part lui !!" et ce n'est pas étonnant puisqu'en réunissant toutes les séries auxquelles on participés les comédiens du film on obtient quasiment la grille des programmes cote séries de M6 , TF1 et la Cinq réunis durant les années 80. C'est Nicholas Hammond qui joue Peter Parker, une interprétation quelque peu fadasse mais qui mine de rien apporte une véritable question existentielle au film à savoir Peter Parker est il vraiment Spiderman?? Effectivement quand on voit l'excroissance capillaire en forme de casque de Peter on se demande vraiment comment tout cela peux tenir sous la cagoule de l'homme araignée et surtout comment son brushing peut il rester aussi impeccable quand il la retire?


Bon au niveau des méchants inutile de s'attendre à voir débarquer sur l'écran Octopus, Venom, Le bouffon vert, Mysterio, Electro, Hydroman ou Rhino. Le budget effets spéciaux étant de 14 dollars et demi Ron Satlof choisit en guise de super vilain une sorte de clone américain d'Eddie Barclay , je sais ça peux surprendre et pourtant Mister White est un vieil homme richissime qui habite une villa sur la côte entourée de jolies jeunes filles , il est producteur de disque et s'habille tout en blanc. Merde, avouez que la ressemblance est assez troublante. Etant donne l'âge canonique de ce méchant plutôt surprenant on lui colle deux bras droits lui servant d'homme de mains afin d'assurer un minimum le capital purement actionner du film. Le premier est une sorte de grand costaud un peu lourd doucement prénommé Ange et le second prénommé Benson est un petit teigneux à moustache adepte du karaté. Pour moi le meilleur de ce trio improbable reste assurément le p'tit nerveux adepte d'un kung-fu étrange faisant beaucoup plus penser à Michael Myers dans Wayne's world 2 qu'a Bruce Lee dans La Fureur du Dragon. Adepte du moulinée dans le vide et du coup de nunchaku à coté de la cible le petit gars possède une technique surprenante avec une furieuse tendance à surgir dans le cadre en faisant un saut de cabri bourré au saké en poussant un cri du type "YEEEE AHHHHH!!" avant de se vautrer lamentablement contre un mur. Il faut voir le pauvre essayer désespérément de défoncer une porte en la frappant avec la tranche de la main pour comprendre que niveau art martiaux il a du rater quelques leçons relativement primordiales. Quand aux fameux Mister White ce n'est pas son activité de producteur de disque qui en fait un dangereux terroriste ( encore que produire certains artistes ça vaut bien une attaque chimique..) mais le fait qu'il soit aussi un vilain marchand d'armes vénale et sans scrupule prêt à faire exploser une bombe atomique dans son propre pays Mais pour mieux comprendre, il est tant de tenter de narrer tout les enjeux d'un scenario par ailleurs extraordinairement complexe


Bon au tout départ de l'intrigue on trouve trois étudiants hyper militants qui décident de dérober du plutonium afin de montrer au monde entier combien c'est super trop facile de fabriquer une bombe atomique et de menacer ainsi les Etats Unis avec de vilaines idées terroristes. Peter Parker étudiant dans cette même université va donc devoir mener l'enquête tout en trainant à ses basques une ravissante reporter laquelle espère bien rencontrer le fameux homme araignée afin de l'interviewer. Et voilà t-il pas que Spider-Man deviens le principal suspect du vol du plutonium sous prétexte qu'il traine sur les lieux du crime avec un quart d'heure de retard. Pire encore Peter Parker avec sa tète de premier de la classe devient lui aussi un suspect idéal sous prétexte qu'il est le seul étudiant assez super malin et intelligent pour confectionner une bombe nucléaire à lui tout seul, comme quoi l'intelligence ne paye pas. Pendant ce temps là nos trois apprenti McGyver sont bien peinards et fabriquent tranquille leur petite bombe atomique dans leur chambre avec deux saladiers de chez Farfouille en guise de coque stérile.


Mais voilà que manque de bol la fille du groupe souffre soudain de radiations à force de travailler le plutonium à mains nues et elle doit être conduite prestement à l'hôpital. Les deux compères sont bien obligés alors d'avouer à Peter Parker que la bombe se trouve cacher dans leur chambre d'étudiants. Bon à cet instant tout est bien qui finit bien, on a retrouver la bombe, Parker est reconnu innocent et hormis la fille irradiée au dixième degrés en train de mourir dans d'atroces souffrances on est tout de même assez proche d'un bon gros happy end des familles. Le film aurait donc pu se terminer ainsi mais au bout de 47 minutes (durée d'un épisode sans doute) de métrage ça faisait un p'tit peu court. Alors nouveau rebondissement avec une sous intrigue pour relancer les trois quart d'heure manquant. Car depuis le début du film Mister White ayant eu vent du vol de plutonium cherche à s'en emparer en faisant suivre Peter Parker. Alors le grand méchant Ange au service de Mister White donc (ça va vous suivez ??), se cache dans une cabine téléphonique et il entends exactement ou se cache la bombe. On peux ici noter que Peter Parker malgré ses intuitions et son sixième sens ultra développé ne remarque même pas un géant de deux mètres à cote de lui coincé dans une cabine téléphonique.


Ni une ni deux, les méchants se dépêchent forcement d'aller dérober la bombe avec Mister White et le petit teigneux à moustache. Une fois en sa possession Mister White décide de vendre la bombe au plus offrant des étrangers, mais comme aucun pays ne voulait décemment se retrouver cité dans un téléfilm aussi médiocre il décide finalement de se la garder pour lui même faute d'acquéreur. Il retourne donc en Californie et demande une rançon au gouvernement sous menace de faire sauter la bombe sur le territoire américain, mais Spider-Man veille et il se met immédiatement aux trousses des méchants vilains. Une fois sur place Spider-Man piste monsieur Blanc et ses sbires tentant de déjouer le complot diabolique. Un récit assez complexe certes mais grâce à la mise en scène ultra explicative de Satlof on comprends toujours tout bien comme il faut, par exemple lorsque Peter Parker a une intuition, ses yeux se mettent à clignoter du bleu au rouge avec des flashs tout autour de la tête et une musique aussi discrète qu'une sonnerie de portable jouant la lambada en plein cœur d'un enterrement. Pas de problème on sait alors que Parker à une vision , d'ailleurs absolument tout le monde autour le sait.


Sider-Man strikes back est évidement un gentil nanar ultra kitsch complètement étriqué dans son format de téléfilm , son budget rachitique et son évident manque d'ambition. Un film cheap , mou et maladroit qui se regarde tout de même avec large un sourire un rien tendre mais un brin moqueur aussi. Coté costume ce n'est pas Spider-Man qui remporte la palme du plus ridicule malgré le cote un peu pyjama de l'ensemble et ses yeux en vieux fond de passoir. Le seul véritable gros problème du costume de Spidey , assez réussi d'ailleurs, c'est qu'il semble avoir été amidonné à l'extrême obligeant l'homme araignée à courir les bras tendu et les mains ouverte avec la vélocité et la grâce féline d'un Playmobil ou de Francis Huster dans Le Faucon (pour les connaisseurs). Mais bon quitte à choisir et se taper la honte je préfèrerais encore aller faire mes courses à Auchan avec ce costume là plutôt qu'avec celui du patron de la journaliste qui colle aux basques de Peter. La costumière du film a du faire une vielle male du cirque Zavatta pour dénicher ce superbe costard avec pantalon rouge, ceinture blanche, veste à carreaux rouge et blanc type nappe de bistrot et ultime touche d'élégance une superbe cravate à pois. Bon je sais, on avait dit qu'on rigolait pas avec les cartables et les habits mais là c'était vraiment difficile de faire autrement. Dans le genre hérésie vestimentaire on a aussi cette scène dans laquelle Peter Parker avec son petit short satiné brillant jaune cherche à faire valoir torse nu sa puissante virilité, le seul problème reste que l'accessoiriste a cru bon de lui refiler un bon gros sac à main marron à la Bernadette Chirac ce qui avouons le, niveau puissance animal et testostérone le fait assez moyennement. On pourras toujours admirer les gambettes poilues de Peter le rapprochant effectivement de la mygale.


La mise en scène de Ron Satlof est évidement ultra codifie par les impératif des séries télévisées de l'époque avec dramatisation à grand coup de zoom avant sur des visages inquiet avec la musique qui fait TIN TIN TIIIINNNNN !! (Bon c'est pas facile de faire de la musique avec des mots). On notera aussi cette très amusante façon de sur expliquer toujours ce qui se passe à l'écran. Pour bien être certain que le plutonium c'est dangereux c'est écrit en gros sur le paquet, à chaque fois que l'on se retrouve dans un lieu il y'a un plan ou une pancarte du style , ici c'est l'hôpital, ici c'est le commissariat, ici c'est le Bugle etc... Il y'a même une scène durant laquelle, pour que l'on comprenne bien que le méchant s'en va, on le voit partir (ce qui est déjà un bon indice) mais pour être certain qu'on comprenne vraiment tout la camera fait un plan sur un panneau exit. Ma scène préférée dans le genre étant un plan du capitaine de police avec au dessus de la tète un énorme panneau sur lequel est écrit en gros Captain, il manque juste des néons et des flèches clignotantes, mais le pire c'est que son interlocuteur lui demande un rien perplexe "vous êtes bien le capitaine ??"..


Au niveau de l'action il ne faut pas non plus s'attendre à être trop bousculer, c'est pas encore du Derrick mais c'est parfois limite. Heureusement qu'il y'a notre ami karateka à moustache qui de temps en temps bondit à l'écran en criant "Yeeeeh AHHHH " pour nous sortir de notre torpeur léthargique sinon on finirait comme Homer Simpson affalé morne et roupillant sur le canape un filet de bave à la commissure des lèvres. On trouve pourtant dans le film une poursuite en voiture et deux ou trois bastons dont une dans un décor de western entièrement sonoriser à la guimbarde à bouche et au sifflet, mais rien n'arrive vraiment à faire décoller le rythme pépère de l'ensemble. Lors de la scène dans le décor d'une ville western, Ron Satlof reprend pour un temps quelques codes cinématographiques du duel en faisant un effort quasi surhumain de mise en scène. Une approche intéressante et ludique qu'il abandonne finalement très vite préférant filmer une sorte de partie de cache cache enfantine entre Spider-Man et les vilains. On attends alors forcement la grosse bastonnade finale entre Spider-Man et Ange, la brute géante qui semble être le bon gros bad guy du film. Elle se limitera finalement par une partie vas y que j'te pousse dans la piscine; notre gros méchant tout penaud , tout mouillé nage alors pour sortir de l'eau et on imagine forcement qu'il va se venger violement de l'affront d'un bain tout habillé en fracassant cette maudite araignée. Mais non !! car voilà que BING !! (oui je dynamise mon récit par des onomatopées c'est pour faire comme dans la série Batman et réveiller les plus distraits) le plan suivant on retrouve Ange suspendu prisonnier dans la toile de l'homme araignée , c'est ce qu'on appelle l'art du raccourci ou celui de ne pas trop s'emmerder avec les scènes d'actions.


Mais il reste heureusement le bouquet final, le moment de bravoure du film , cet instant magique qui justifie à lui seul le prix de sa place de cinéma. Bon je vais devoir dévoiler un petit peu la fin du métrage mais c'est du tout p'tit spoiler de rien du tout. Ce n'est pas comme si je révélais qu'en fait Bruce Willis est mort dans Sixième Sens, ou que Dark Vador c'est le père de Luke et Leia... mais assez de digressions. Donc Monsieur Blanc décide de faire exploser sa bombe atomique à Los Angeles lors d'une allocation du président. Spider-Man malgré sa formidable intuition n'avait quasiment rien vu venir et il se retrouve alors à cinquante bornes de l'action.....Allez zou !! pas de temps à perdre il réquisitionne un hélicoptère en se faisant passer pour un chanteur de rock du groupe des arachnides ( ne cherchez pas, c'est pour justifier le costume) et s'envole magnifique de volonté et de détermination vers la menace terroriste. Et là n'écoutant que son courage il saute de l'hélico , vole un instant en chute libre avec la grâce d'un aigle puis il se raccroche grâce à sa toile à un autre hélico (celui du méchant) avant de réussir a atteindre périlleusement le toit du building sur lequel se trouve la bombe. Là il court aussi vite que son costume amidonné le lui permet, fait deux trois poses de cabot pour les photographes et s'en va désamorcer la bombe en arrachant le bon fil; bien évidement juste deux petites seconde avant que tout n'explose. C'est dans cette chorégraphie, ce ballet extraordinaire que Ron Satlof explose tout le budget effets spéciaux et renvoie un instant Superman à son brevet de vol aérien.


Il y'a quand même un tout petit détail amusant c'est que Spider-Man expulse bel et bien sa toile de son poignet ,pourtant on voit très nettement sur plusieurs plan de Spidey accroché à l'hélicoptère que la toile part d'entre ses jambes. On nous aurait donc menti ?? Les mauvaises langues diront que c'est pour cacher le filin qui retient l'acteur mais je pense plutôt que cela justifie le regard coquin de la journaliste au début du film quand elle apprends que Spider-Man doit secréter et éjecter une substance gluante de son corps. Mais peu importe l'interprétation l'homme araignée doit tout à le force de son poignet. Et puisque nous sommes sur le registre de la grivoiserie, petite cerise sur le gâteau Spider-Man strikes Back nous gratifie d'une scène chaude, encore que tiédasse serait un mot plus approprié. Mais ici il ne s'agit pas d'un étalage injustifié et complaisant de bimbos impudiques dans le seul but de satisfaire le jeune geek en pleine crise de puberté naissante. Non monsieur !! car l'érotisme sauvage et trouble de cette scène trouve ici sa justification pleine et entière dans la mécanique complexe du scenario. Effectivement lorsque Mister White kidnappe la journaliste qui enquête avec Peter Parker il décide de la faire mettre illico presto en bikini , pas pour satisfaire des penchants de pervers pépère ou une soudaine remontée de sève mais pour simplement être certain que celle ci ne cache aucune arme sur elle (eh oui !! il fallait y penser). Il est vraie que les journaliste ont toujours une fâcheuse tendance à se trimballer avec tout un arsenal dans le pantalon. Evidement par mesure de sécurité et vu tout ce que l'on peu aussi cacher dans son slip , du bazooka au 357 magnum en passant par le bâton de dynamite, il aurait été sans doute plus prudent et sage de mettre directement la madame complètement à poil. Mais passons sur cette petite incohérence scénaristique que ne relèveront que les plus pointilleux des cinéphiles et les plus obsédés d'entre nous. Et puis surtout à cet instant du film on est absolument ravi que monsieur blanc n'est pas pris en otage le vieux patron de Peter Parker, parce qu'avec un sexagénaire en bikini on passait tout de suite dans une catégorie de films interdits aux mineurs ans pour violence graphique extrême.


Voilà il resterait encore beaucoup à dire sur ce Spider-Man strikes back que ce soit sur ses dialogues insipides mais parfois extrêmement drôles comme "il est tellement conservateur qu'il accuse les feux rouges d'être communistes" ou "ne m'appelle pas chef je ne suis pas un peau rouge" en passant par les micros qui pendouillent dans le cadre à cause d'un preneur de son aux bras trop petits ou aux perches trop longues , sans oublier les pose ridicules de ce bon Spider- Man; mais je laisse aux plus téméraires d'entre vous le soin de découvrir les derniers petits plaisirs coupables que réserve La Riposte de l'Homme Araignée. Bon courage à ceux qui voudront trouver le film, celui ci n'existant qu'en VHS et restant relativement difficile à trouver. Perso je garde comme un précieux sésame ma cassette vidéo acheter dix francs ( Et oui les jeunots!!, ça remonte bien avant l'euro) dans un vidéo club en cours de fermeture. Par contre pour les amateurs le film est disponible sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=USK9WZhsYXc

freddyK
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le 22 févr. 2021

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